L’affaire Betancourt raconté aux français
Imaginons, imaginons un monde…..
24 Janvier 2007, Arlette Laguiller candidate courage, est enlevé au Pays Basque par le groupe terroriste ETA, après qu’elle a refusé de faire demi tour comme lui demandaient les militaires des forces françaises.
Aujourd’hui quatre ans après son enlèvement, et à quelques mois de l’élection présidentiel, le groupe guerrillero-terroriste ETA exige toujours la libération de 100 dirigeants politiques de Batasuna arrêtés par le gouvernement et la demilitarisation de Saint Jean de luz pour l’accord humanitaire. (Le chef emblématique de Batasuna, Arnaldo Otegi, emprisonner en Grande-Bretagne fait toujours partie de la liste).
Les comites de soutien aux Etats-Unis, accusent le président Sarkozy de ne pas vouloir sa libération parce qu’elle est un danger pour sa nouvelle réélection, même si Arlette au moment de son enlèvement en 2007 avait que 5% de opinion favorable.
Les comites Nord Américains insiste sur le fait que le gouvernement Sarkozy n’a eu aucune amabilité avec la mère d’Arlette et son époux, de peur de perdre les élection et que chaque fois que le négociation ont avance pour faire sortir Arlette de Montagnes du Pays Basque le Président Sarkozy les a fait capoter.
L’histoire des comites de solidarité avec Arlette aux Etats Unis sont né après qu’un professeur de l’université de Michigan lu son livre « Parlons avec le coeur » qui raconte la vie des hommes politiques en France, Mitterrand l’Africain, Chirac le Japonais et toutes ses petits combines pour arriver au pouvoir et s’y maintenir, les secrets de la confiscation de la Indépendance de La nouvelle Calédonie en mai 1988, etc.
Elle attaque les méthodes des hommes au pouvoir où les plus souvent, les fils vend les armes au dictateur, Africain, installé au pouvoir grâce à la corruption, aux menaces de son papa président, et que six mois après, sa maman « affolée », présidente d’une ONG européenne, accuse le même dictateur, Africain, de violation des droits de l’homme.
Dans son livre, elle accuse la société française de vouloir cacher sont histoire récentes avec les malheurs des autres, elle écrit : « ...., ils prendraient conscience (les français, ndlr), que les Atrocités qu’ont fait les Pinochet au nom de la dictature en Amérique Latine, a été fait par les Européens, par les français au nom de la démocratie en Afrique, en Asie. »
Touché par son courage le professeur de l’université de Michigan contacte son amie de CNN qui diffuse des images de Arlette, Candidate à la Présidence avant de prendre la voiture qui la conduira aux montagnes du Pays Basque. Le président de CNN va faire de Arlette la citoyenne de New York, Washington, Topeka et 1000 autres villes aux Etats Unis et fait pression sur Sarkozy pour chercher sa libération par un accord humanitaire, et ne pas répéter les erreurs de mai 88 et les détenus de la Caverne d’Ouvéa.
Leur relation les amène jusqu’au secrétaire d’état et jusqu’au président américain, quand il a découvert que la mère d’Arlette passa quelques années de sa jeunesse aux Etats-Unis, dans la 5 avenue de New York, avec son mari californien.
Demain on célèbrera le cinquième anniversaire de son enlèvement, de cette héroïne de temps modernes possible premier présidente de France, qui lutta pour que son pays la France reconnaisse les crimes de son passé coloniale, qu’elle, la France soit jugée devant la cour International de La Haye.
Arlette est la seule femme politique française à demander pardon au peuple Algérien par les crimes de la France, par les massacres de Sétif, de Guelma 45 et de Paris 61, attitude que Sarkozy ne peut pas accepter au nom de la grandeur de son Pays La France.
Le parti Vert aux Etats Unis, se mobilise aujourd’hui pour la libération, de cette héroïne.
En librairie avec cet anniversaire nous pourrions voir tous les livres sur Arlette, images de la femme française qui lutte pour son pays.
Espérons la voir un jour libre et présidente de la France, avec ses 5%.
Rêvons voir un jour en France une femme présidente avec 5%.
Imaginons, imaginons un monde sans manipulation des medias, ici et ailleurs