Deux théories du complot s’opposent l’une à l’autre, la déconstruction de l’une ne fait pas vérité de l’autre.
Mais l’une au moins utilise la méthode du doute pour avancer, ne repose pas sur le langage d’autorité et d’émotion des pouvoirs dominants (politique, policier et médiatique, unis en sainte alliance).
Nous connaissons les effets de l’utilisation politique par la faction néo-conservatrice aux USA et en Europe des évenements du 11 septembre 2001 : Transformer des états en chaos sanglants (Irak et Afghanistan), "paranoïer" le monde pour imposer des limitations aux droits de l’homme, aux libertés de circulation des populations, relégitimiser la torture, etc.
Les effets de l’instrumentalisation de ces évenements sont immenses.
On connait donc le bout du bout de ces évenements. Mais cela fait-il preuve d’un scénario de départ ?
Le doute méthodique, la discussion pas à pas de chaque élément d’une multitude de puzzles, devient si j’ose dire un devoir sacré. La superficialité des montages technico-affectifs par de puissants médias ne fait pas livre d’histoire comme le prétend le philosophe. Ni vérité.
En fait, si nous discutons en ce moment de tout cela, avec passions, raison, doutes, et toutes les émotions intellectuelles possibles c’est qu’enfin nous en avons possibilité. Cela n’était pas possible avant le net.
C’est ce média qui nous permet de répondre à ce qui passe dans le Monde (canal historique), avec une liberté qui n’existe pas dans ce journal. J’ironise dessus mais bon c’est de bonne guerre par rapport aux manipulateurs grossiers du débat.
Mais il demeure que nous n’avons pas forcement avancé sur la verification de ce qui c’est réellement passé le 11 septembre 2001 (alors que pour le 11 septembre 1973 , on sait).