Vous vous faites de drôles de nœuds au cerveau, monsieur Crouzet. Vous échafaudez des théories psychologiques qui feraient pâlir les plus grands des "conspirationistes", comme vous les appelez....
Ne vous est il pas venu a l’esprit que l’on pouvait tout simplement être convaincu par des faits et des éléments qui contredisent une théorie ? Etudier un sujet et arriver à une conclusion (ou du moins, à une autre théorie) différente ?
Votre papier est un monceau d’amalgames et de théories fumeuses basés sur ces amalgames.
Je vais vous décevoir... tout cela est beaucoup plus simple en réalité. Vous qui pensez connaitre les citoyens lambda, vous m’avez l’air d’être drôlement parti dans le décor sur ce coup là. Pas besoin de parler de problème de croyance ou de d’identification... c’est tout simple : il suffit de s’intéresser au sujet. La plupart ont commencé avec énormément de scepticisme. Mais... ils avaient une qualité (ou un défaut selon l’interprétation) : ils étaient curieux.
La curiosité engendre l’intérêt. Et, une fois qu’on a entrepris le voyage de s’intéresser au sujet, on ne peut plus se contenter d’une version qui comprend de trop nombreuses contradictions. Que fait-on alors ? Et bien… on continue de chercher, on pose des questions et on espère avoir des réponses.
Vous voyez, c’est tout simple.
Je ne me reconnais absolument pas dans votre cabale psychologique. Jamais je n’ai eu « envie » ou « besoin » de croire. Mon seul problème est que des faits ne correspondent pas à une histoire. Et vu l’importance des cette « histoire », j’estime avoir le droit de poser des questions et d’espérer qu’un jour j’obtienne des réponses sur ces contradictions.
D’autres réponses, évidemment, que votre conte psychologique…