Commentaire de Yannick Harrel
sur « Kerviel de l'humanitaire » et « Breteau de la finance »
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Bonjour Alceste,
Effectivement vu ainsi on peut aussi considérer Breteau comme une victime. J’ajouterais même que le docteur Kouchner porte une certaine part de responsabilité dans ce mélodrame, n’est-ce pas lui en effet qui a voulu démocratiser la doctrine de l’ingérence humanitaire ? Principe au nom duquel le président de l’Arche de Zoé et tous ses compagnons ont fondé leur action. Comme quoi les bons sentiments font rarement une bonne politique étrangère...
Cordialement
Derniers commentaires
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09/04 19:25 - alceste
le lapsus calami " politique étrangère" tombe très bien ! Et, sans vouloir nier les (...)
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09/04 15:16 - Yannick Harrel
Zut ! Je voulais écrire une bonne politique humanitaire, mais finalement politique étrangère (...)
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09/04 15:02 - Yannick Harrel
Bonjour Alceste, Effectivement vu ainsi on peut aussi considérer Breteau comme une victime. (...)
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09/04 12:04 - alceste
bonjour Yannick Harrel, Tout comme vous, j’ai trouvé surprenant, mais très intéressant (...)
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09/04 06:03 - Yannick Harrel
Bonjour, De prime abord, je dois vous avouer que je n’aurais pas pensé rapprocher côte à (...)
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08/04 21:20 - pragma
Le parallèle est saisissant... De sales gosses que l’on a laissé faire...et qui (...)
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