bonjour,
je pensais, sans doute naïvement, que chaque salarié cotise pour le chomage, aussi, si je comprend la logique de ce projet de loi,
un salarié peut par exemple cotisé 10 ans, un % non négligeable de son salaire, se retrouver au chomage, et s’il ne cède pas a l’injonction de travailler sur des "offres raisonnables" 2 fois, on lui supprime ses assedic, ce qui implique qu’on le vole s’il a cotisé plus que ce qu’il a perçu en assedic...
Il est même problabe que somme cotisée, si au lieu de l’avoir "solidairement" et "obligatoirement donnée", il l’avais placé pour se garantir un pécule en cas de chomage, il aurait sur son compte en banque bcp plus que simplement 2 mois d’assedic.
c’est du vol, pure et simple, que cette mesure. C’est exactement comme le rma, qui n’est rien d’autre que du travail forcée par la violence de la situation précaire sur des personne fragilisée, et mal rémunèrée par rapport au cout réel de la vie.
La lutte contre l’oisiveté lorsqu’elle s’abat par la force au nom de la valeur travail, n’engendre et n’a toujours engendré en france que colère, sentiment d’abus de faiblesse, mauvaise ambiance dans les lieux de travails, et révolte, dans des urnes ou dans la rue, mais révolte.
Je suis rmiste, n’ai somme toute plus rien a perdre et appris a survivre en situation précaire comme constamment indigent et blessé sur le front de la guerre économique parce que d’un coté l’éducation nationale vis comme en temps de paix et ma former naif,
de l’autre aprés formation commerciale, je n’ai jamais supporté d’être obligé de prendre de l’argent a une petite vieille et autres situations de faiblesses en vendant du vent pour m’offrir une connerie dont je pouvais trés bien me passé, beaucoup mieux que mon amour propre.
alors si en plus on me force, au nom de mon "bien" supposé sur l’autel de la valeur travail,
à faire ce que je ne veux pas faire pour survivre à peine mieux, c’est qu’on me prend pour un chien corvéable par la force de ma détresse sociale,
et si je dois me battre, ce n’est pas pour avoir le droit de travailler plus, mais pour mordre les mains qui tiennent ce collier.
Tous les jours il y a des options "hors la loi" nettement plus rentable comparé au risque d’être "pris", l’option je ne peu créer alors je pille, j’abuse, je prend, et n’écoute dans ceux qui ont que la faille pour mieux leur prendre encore, d’une vie sans sens véritable si ce n’est l’impératif de survivre en ville, constamment en quete d’opportunité à saisir, de faiblesse a exploités, de forts avec qui négocier, ou
toujours au plaisir éphémère d’avoir un peu de luxe vis a vis du simplement vital, se succède indéfiniment la frustration de n’être finalement toujours que.
tous les jours, lorsqu’on calcul qu’avec la hausse des prix on ne peut même plus manger décemment la dernière semaine de chaque mois, la tentation de franchir la ligne, préférer avoir l’angoisse d’allez en prison a celle d’avoir rien dans son frigo, est une lutte entre sa dignité et son instinct de survie.
Mais lorsque sarko, et une partie de son gouvernement, sortent eux même de la dignité, font du spectales et malmène la faiblesse dans la précarité a coup d’effets d’annonces et de spectacle indigne où l’on comprend bien que c’est moi, nous, les pauvres cons,
Ces gens qui recréent le travail forcée incapables qu’ils sont de libérer la création d’entreprises, ils tuent l’envie de bien faire pour enrichir pareil incompétents, je suis content de ne pas payer d’impot parce qu’a aucun moment ces guignols ne se sucrent sur mon travail et mes efforts, ma solidarité et mon patriotisme n’a rien a voir avec ce que ces gens en font,
plus pret de la misère qu’eux, c’est gratuitement que j’aide un ami, et simplement qu’on partage la bouffe.
mais leur spectacles autour de "réforme", au lieu de donner l’espoir qu’enfin on va pouvoir se libèrer collectivement de la prison de précarité dans laquelle la gauche nous a enfermé,
ne fait rien d’autre que mettre encore plus de pression sur ceux qui n’ont plus rien a perdre, ceux qui comme moi on perdu ou ne font pas d’enfants pour "cause économique", et qui n’ont pas vocation a accepter l’autorités d’inconscient de la réalité social, ni même ne considère comme légitime la dernière élection présidentielle.
autant dire que la société française est stérile, rendant impossible a une quantité non négligeable d’homme d’’y féconder leur ambition, leur vie, leur famille, leur évolution, avec la hausse de la violence qui va avec, et le travail forcé n’y changera rien.
Elle est devenu juste un bateau qui coule ou c’est a chacun d’emporter les meubles en attendant a fond de cale pour les enracinée a la france, et en virtualisant la monnaie pour ceux qui quittent le navire pour d’autres contrée plus fertiles.
si pour changer de bateau, d’équipage et de cap, il faut sapper la coque du bateau, continuée comme ça avec vos envie de descendre a fond de cale avec des fouets pour faire bouger l’oisif, et ne venez pas vous plaindre la gueule dans l’eau comme tout le monde, d’être incompris, frappé et pillé en cherchant a vous dire que vous fouettez pour mon bien.
amicalement, barbouse.
17/04 12:36 - iris
et aussi ne pas oublier accepter un travail demandant unmaximum de 2h de trajet.. il y (...)
12/04 20:29 - anwe
12/04 01:02 - Marc Bruxman
Non c’est très simple. Les mesures prennent du temps à agir et il y a un décalage de (...)
11/04 10:13 - sisyphe
Bah ! C’est pas de bol, hein : chaque fois que la droite arrive au pouvoir, c’est (...)
11/04 00:57 - Marc Bruxman
Encore un commentaire qui se fait moinsser alors qu’il ne fait que dire ce qui a (...)
11/04 00:54 - Marc Bruxman
Et oui cher Monsieur, la dette est plus montée sous la droite que sous la gauche. Mais prenez (...)
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