Commentaire de armand
sur Curtis Mayfield, ombre musicale portée de Martin Luther King
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Yohan :
Merci pour cette belle évocation d’un grand musicien ! Merci Gazi pour les liens et commentaires supplémentaires.
Quant à la pancarte que vous citez, je me rappelle que la première fois que j’ai traversé la "Mason-Dixon Line" avec mes parents au milieu des années soixante ma mère m’a expliqué le sens véritable du panneau d’apparence anodine qui trônait sur le comptoir d’une cafet’ : "Le patron se réserve le droit de servir qui il veut". Euphémisme glaçant, bien entendu.
Les cinéphiles se souviendront que ce même panneau provoque la bagarre homérique entre Rock Hudson et le patron de la cafet’ à la fin de "Giant".
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16/04 19:09 - fouadraiden
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16/04 17:58 - Gazi BORAT
@ propos du Dr Holmes Un plan de son hotel, qui comportait des chambres insonorisées avec (...)
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