@ sisyphe
Ca me rappelle beaucoup la discution que j’ai eu en Suisse avec un Banquier.
Nous sommes à deux doigts de la fin d’un système. Nous avons basculé sans le voir du capitalisme, oü le patron faisait attention à ses ouvriers, car ils étaient aussi ses clients, au monaitarisme oü le patron n’a pas de client, puisqu’il n’est plus propriétaire de ce qu’il dirige, mais vulgaire exécutant d’un dogme.
Entre le patron d’une multinationalle et le capitaine nazy qui jette au four des êtres humains il n’y a qu’une différence d’apparence, pas de fond. Il n’y a plus de capitaine dans le navire "économie", seul l’apparent profit immédiat compte, et celà est d’autant plujs absurde que vous pouvez augmenter votre richesse en jouant sur la perte. Vous achetez une action en baisse que vous revendez moins cher encore et vous vous êtes enrichi. Plus personne ne le conteste, seulement vous n’avez fait que jeter plus encore de monde dans la fosse commune.
Le systéme est mort, mais personne ne veut déclarer la mort clinique. Le révolution alimentaire a déjà éclatée dans certain pays, notre systéme social arrive encore à la contenir en Europe, mais un fou en France s’attaque au barrage, et creuse à sa base, ignorant la masse et l’étendue d’eau derrière ce mur.
"Réduisons les avantages aquis, ce sont eux qui paralysent notre société". Sarkozy ne croit pas si bien dire, mais je crains qu’il ne voit pas la masse qu’il va libérer, et je ne suis pas sur qu’il s’attende aux changements à venir.
Au moins ce président aura eu un avantage, celui de faire céder plus vite le barrage et d’en finir avec un systéme mauvais, le monaitarisme.
Mais je crains qu’hélas, personne n’ait encore imaginer le système fiable qui lui succèdera, et il faudra surement repasser par des violences et des injustices pire encore, avant de voir une nouvelle aire, ou l’humain redevienne la principale réflexion de nos dirigeant.
(si ce message parait en gras c’est involontaire)