cascabel
"La question serait alors de savoir si le "facho" de 2002 proposait un programme politique fasciste, ou bien si il s’agit d’un amalgame. "
Il y a une définition claire à fascisme : s’appuyant sur un pouvoir fort, prônant un État sécuritaire, les métiers organisés en corporations (ceci au moins jusqu’en 1945), l’exaltation du sentiment nationaliste et une politique réactionnaire.)
Le Front National y colle a plus de 90% au moins. Le Pen est réellement un adepte du fascisme, le coté raciste et xénophobe en supplément (les fascistes à la base ne font pas appels aux préjugés racistes pour s’assumer), ce qui le rend encore pire.
Sinon, Sarkozy a récupéré pas mal de thèmes et d’attitudes du Front national et de LePen. Il n’est pas fasco mais a intégré dans son "idéologie" (quel bien grand mot pour lui) des thèmes récurrents du fascisme. En plus, dans son entourage immédiat on trouve des gens tels Devedjian, Longuet, Novelli, Gloasgen, Gianfranco Fini (adorateur assumé de Mussolini - voir sa bio) etc etc ayant été de vrais fascistes assumés et ayant milité dans des groupuscules d’extrême droite (certians sous les ordres d’un certains LePen) revendiquant leur filiation avec les fascsiste italiens, espagnol et même avec des partis néonazis allemands (Occident, Ordre Nouveau, Gud, Vignancourt...)
Le drame c’est qu’avec ce plouc de Neuilly la réthorique fasciste s’imisce petit à petit dans les esprits (co,nfronter la définition à la politique et la manière dont Sarko se comporte) . La Lepenisation des esprits s’est trés bien porté depuis 2002 et a été consacré en 2007