Je pense que Madame la Ministre de la santé pourrait aussi se poser un certain nombre de questions sur la manière dont les malades mentaux sont traités dans les lieux de soins. A se sujet je lui adresse une lettre via votre site pour qu’elle puisse améliorer les services qui doivent être rendues dans les hôpitaux psychiatriques.
Madame la Ministre de la santé
Depuis plusieurs années je vous mets régulièrement au courant des erreurs et crimes que commet la psychiatrie. Vous avez pu voir sur mon site, « La psychiatrie nous ment », http://www.mensongepsy.com/ , dont les statistiques dépassent neuf cents visites par jour et deux mille huit cent pages vues par jour depuis janvier 2008 (se qui fait un grand nombre de personnes s’intéressants à ce sujet) que régulièrement cette profession est à la une des journaux à cause des irrégularités commises par ses membres. Depuis de nombreuses année un bon nombre d’Associations et de Députés Français demande auprès du Ministre de la santé des statistiques sur cinq et dix ans, par un organisme indépendant, concernant les résultats et les échecs de ce corps médical, sans qu’aucune communication est été faite à ce sujet.
Dans tout mode de soin en France, le patient à le droit de refuser de se faire soigner, de prendre les médicaments proposés par le corps médical, sauf en psychiatrie, où les malades ne sont pas considérés comme des êtres humains mais comme des animaux que l’on parque contre leurs volontés.
1) Donc je vous demanderais de proposer une loi formelle exigeant qu’en psychiatrie la loi à ce niveau soit respectée et que toute femme, homme et enfant, de quelques race où religion qu’il soit ai le droit de refuser de se faire enfermer ou de prendre des médicaments contre sa volonté.
2) Que chaque internement d’office, dû à une crise de violence du patient soit immédiatement suivi par un avocat, pour être sur que le point un à bien été respecté et que la psychiatrie n’ai pas usée d’influences psychiques pour faire signer un papier que le patient ou un membre de sa famille regretterait par la suite.
3) Que les Députés aient le droit de visiter un hôpital psychiatrique, accompagnés de médias, à n’importe quelles heures du jour où de la nuit, sans que celui-ci ai été prévenu auparavant (on sait bien qu’une société prévenue quelques jours avant profite toujours de ce lapse de temps pour faire place nette.)
4) Que tout traitement inhumain comme les électrochocs soient bannis de tout mode de soins comme étant en violation avec la chartre des droits de l’homme.
5) Que les psychiatres qui prescrivent des médicaments avec de tels effets secondaires tels qu’ils sont décrit dans les posologies présentes actuellement sur le marché (voir mon site) soient considérés comme violant les droits de l’homme et jugés comme tels.
L’état actuellement se prépare actuellement à apporter une contribution financière importante au niveau de la psychiatrie et je pense qu’avant de débloquer les sommes considérables dont j’ai entendu parler par certains hommes politiques il serait judicieux de regarder de plus près si cet argent sera réellement bien placé.
Pour ma part, j’aurais une confiance relative envers un garagiste qui ne serait pas capable de réparer ma voiture et qui me demanderait plus d’argent pour ne toujours pas la réparer.
Cela fait cent ans que la psychiatrie se plaint de ne toucher pas assez de subvention et malgré les sommes faramineuses que nous lui avons versé elle n’a pas de résultat et se refuse à donner ses statistiques (je répète, vérifiés par un organisme indépendant). Notre pays à t-il tellement d’argent qu’il peut se permettre de perdre un milliard d’euros comme le propose Madame la Ministre de la santé ? Ou doit-il au contraire ne subventionner que les organismes efficaces qui jouent le jeu ?
Cela va beaucoup plus loin qu’une question de politique. Nous parlons d’être humains, de gens que nous côtoyons, qui pourraient être de notre famille, qui le sont peut-être d’ailleurs.
La question vous est posé Monsieur le Député, voulez-vous appuyer ma demande et faire que notre pays soit fier de ses soins mentaux où préférez-vous continuer comme par le passé à ne pas voir ce qui se passe ?
Prochainement je vous ferais part de toutes les réponses que j’aurais pu avoir pour que vous sachiez qui veut faire changer les choses et qui préfère l’immobilisme.
Dans l’attente d’une réponse, veuillez recevoir Madame la Ministre de la santé mes sincères salutations.
Jean-Sylvestre Thépénier