@ l’auteur,
Vous parlez de manque de culture scientifique de la population ; Je crois en effet qu’il s’agit d’uine lacune fondammentale de tout homme bien éduqué :
Pour pouvoir argumenter sur les mensonges proférés par les pseudos spécialistes auto-proclamés, il faut des arguments , que n’ont pas 99 % des citoyens et ce qui est plus grave, députés qui , faute de données fiables s’ haranguent sur du vent .
La recherche en génomique de manière confinée et controlée n’a rien ,mais alors rien à voir avec la dissémination volontaire de plants jamais testés - si 3 mois sur des souris par le laboratoire qui commercialise et le plus vite possible ses chimères génétiques- et plantés en plein champ à distance dérisoire des champs non-OGM pour qui connait le cycle de pollinisation - j’ai juste une Licence de Biologie et je le sais ...- et les vents.
Je vous conseille de lire en poche - je crois que c’est en collection Points-, deux parutions du Biologiste Molléculaire Gilles-Eric Sérallini, c’est clair, et didactique.
Ce débat n’a rien, de politico-polliticien, c’est un débat scientifique , sérieux, et qui devrait être traité comme tel.Les OGM en plein champ sont des plantes qui , en majorité secrètent leurs propes pesticides : Elles devraient subir le même type de tests de toxicité que les pesticides : Ce n’est pas le cas.
Par ailleurs, la technique utilisée de bombardement par canon de morceaux d’ADN est tout sauf quelquechose de maitrisé et de fiable :C’est encore une technique très alléatoire. Et tester un aliment modifié génétiquement trois mois sur un animal aussi différent de nous que la souris est une foutaise .Les études à trois mois montrent, d’ailleurs déjà sur la souris des atteintes hépatiques, ce qui a motivé l’interdiction momentannée du MON 810.