bonjour calmos,
un éléphant dans un magasin de porcelaine fait aussi bouger les choses !
sérieusement, faire des réformes ne veut pas dire casser la société, mais l’améliorer afin que les plus faibles et les plus démunis puissent vivre decemment.
c’est vrai qu’il a fait voter des lois, mais où est l’amélioration promise pour :
- les petits salaires ?
- les petites retraites ?
- les malades et handicapés ?
- la préservation de l’emploi des grands groupes économiques ?
il a beau dire la main sur le coeur et la larme à l’oeuil, qu’il trouve injuste la pauvreté et le capitalisme spéculatif, il n’en reste pas moins que :
- arcelor-mitral ferme une usine à gondrange malgré les promesses faites,
- eads se sépare de sites de production en france, alors que l’allemagne les conserve
- les franchises médicales lèsent particulièrement les petits retraités, les smicards et les malades chroniques, et qu’il a été démontré que ceux-ci retardaient, par manque de moyens, leurs soins dentaires, opthtamologiques, et de lunetterie...
- les heures supplémentaires n’ont pas connu le boom espérés et ne touchent que quelques grandes entreprises...
- les dépenses somptuaires de l’élysée et de certains ministères ont explosé !
il serait plus crédible s’il disait que c’est "chacun pour soi, et dieu pour tous" ! car son action s’est portée en faveur des gros gros capitaux et des grosses fortunes.
toute sa politique économique et sociale tend vers le libéralisme le plus dur, en retirant aux salariés leurs droits au profit des actionnaires et fonds de pension.
au delà du clivage gauche/droite, il faut qu’il assume ses choix de société, mais cela il ne peut pas le faire, car sinon, il se couperait de la majorité des français, donc des électeurs potentiels. c’est pour cela qu’il continue à jouer au beau parleur, à faire rêver à un hypothétique meilleur lendemain car on ne prend pas les mouches avec le vinaigre.