Putain de bordel, ça réchauffe le groin de voir une gonzesse qui pisse sur les couilles molles.
En voilà t-y pas une qu’est burnée jusqu’à la glotte que le mange cul de Weinstein il ose même pas rouvrir sa gueule.
Moi, je les aime les gerces qui s’tapent les graveleux en couscous quotidien, y z-ont plus qu’a avaler leur chique, les gnaires.
Mille bravos pour cette bafouille, y’a tous les grossos de la maraille qui se lèchent les babouines quand une tartine fout le souk chez les pansus.
La gisquette elle cloue le bec aux cafards, les malsains qui se fouttent du tiers comme du quart et qui chialent quand il augmente, le car, faut leur tremper le blair dans la mouscaille pour qu’ils pigent qu’ils ont fauté en votant en lousdé pour le bout de zan. A c’t’heure sont comme des merlans qu’on plume et entravent nada, mais vont débarquer quand le larfeuille sera plat comme limande, et là j’te dis pas la rebiffe, ça risque de tourner en eau de boudin. Les menteurs du bagout vont souffrir, p’t-être même qu’avec un coup de grisou vont finir en cravatte à potence, n’auront que s’qu’ils méritent les tordus.
Fini l’arnacherie les malencontreux, va falloir qu’ils crachent au panier et recasquent tout c’qu’ils ont barboté dans nos fouilles. Le rase-terre et sa moquette vont devoir faire excuses du boxon dans lequel ils nous ont planté, vont rendre leurs trippes, les graillons et les rillettes surtout que le Mans il connait l’second couteau.
Merde, faut qu’on se réveille, les enfarinés, faut plus glander, vont nous éponger avant la mi-carème si on les alpague pas ces loufiats. Les talbins qu’on a fourrer dans l’égrugeoir à vote c’est pas un condé pour nous enfler.
Alors une brassée de merci à c’te graffignoux qui nous allume les chasses, merci à toi la Monolecte...