@ Geko
Pardonnez-moi, si je vous ai donné l’impression d’enfoncer des portes ouvertes.
J’ai profité de votre question pour répondre à ces braves gens, qui vous envoient leurs diplômes à la figure comme argument d’autorité pour faire admettre les erreurs formalistes dont ils ont été gavés.
Cette multiplication des catégories sans nécessité (contrairement au sage conseil de Guillaume d’Occam, qui, hélas, pour ces jouvenceaux, est ringard sans doute, vu qu’il vivait au 13è-14è siècle - Voyez ce que me sort l’un d’eux, renvoyant le 20ème siècle quasiment à l’âge de la pierre ! - ) est une stratégie qui permet d’opposer ce qui doit être pourtant associé pour égarer les gogos. Vous pouvez mesurer leur égarement à leur stupéfaction de découvrir que je parle d’"information" quand eux ne veulent y voir que de "l’émosssssssion", comme le ferait une marionnette si elle avait la parole !
Ainsi, si des jeunes gens qui ont fait apparemment des études, en sont à ce degré d’ignorance en matière de "relation d’information", vous pouvez imaginer ce qu’il en est de ceux qui n’en ont pas fait. Où ont-ils appris à repérer la gamme complexe de réflexes dont ils sont équipés et sur laquelle jouent en virtuoses les stratéges pour stimuler le réflexe émotionnel attendu à l’aide d’un arsenal de leurres efficaces ?
Je voulais donc seulement dire que, sans ce cadre de référence il est quasiment impossible de dépasser ses réflexes pour accéder dans un second temps à la réflexion. Ce n’est pas votre cas, et je m’en réjouis.
Mais cet enfermement dangereux dans les réflexes par usage immodéré de procédés de proximité est bien le reproche que je fais à ce clip, doutant que l’accès au degré d’ironie soit ouvert à la plupart des cibles auxquelles il s’adresse, à en juger par les réactions de ses " zélés fans". Paul Villach