Pour mon contradicteur qui signe Boileau.
Vous suggérez que j’ai donné, sans le vouloir, une image positive du Dalaï Lama. J’ai, au contraire, voulu souligner que, sur ce coup là, il a été parfait. En le faisant, je souscris à ma règle de conduite qui consiste à refuser le manichéisme. De surcroît, mon information sur les paroles respectables du Dalaï Lama éclaire, a contrario, le misérable silence de ceux qui le soutiennent en France. n Qu’importe son possible calcul. Ce problème-là est hors sujet.
J’ai appris de grands journalistes que le mieux est de traiter un sujet par article. L’efficacité dans la démonstration froide, clinique, interdit les digressions superfétatoires.
Votre question sur ce que j’aurais dit de Bush s’il s’était précipité en Louisiane, trouve sa réponse dans ce que j’ai dit du Dalaï Lama.
C’est de la rhétorique. Le but de mon article n’était pas de diaboliser un chef religieux, mais de démontrer le parti pris de notre classe politico-médiatique. Je crois avoir réussi puisque aucun commentaire ne vient contredire la démonstration.
S’agissant des écoles mal construites, vous croyez savoir que c’est à cause de la corruption du PCC. Admettons que vous ayez là-dessus des informations. Attendons d’en avoir aussi sur le fait que la corruption ait sévi surtout pour les écoles, si je vous en crois. Mais comment expliquer que des villages entiers se sont écroulés et que des immeubles modernes aient résisté (fin de la corruption ?)
Je sais, moi, que dans bien des pays, les écoles, qui sont souvent des édifices anciens, ne sont pas aux normes (regardez dans nos villages). Je crains qu’il en soit ainsi dans les régions de France exposées à des séismes.
Vous pouvez, Boileau, discuter ce que j’écris ici et que d’autres approuvent dans des commentaires, mais en nous traitant de « secte d’illuminés prochinois d’agoravox », vous n’ajoutez rien à la force de vos réfutations.
Maxime Vivas