Bonjour,
500 commentaires, ce n’est pas rien, cet article fait couler de l’encre, ou plutôt agite les claviers. Mais les esprits aussi... enfin, chez certains, ça doit sonner creux... Benjamin Constant à dit que les gens de conviction sont plus silencieux que les gens de circonstances.
D’un côté, les défenseurs de l’espéranto, qui avec conviction défendent leur cause, leur langue... Peut être feraient-ils parfois mieux de diriger leurs arguments, leurs temps et leur capacité rédactionnelle vers le tout public, vers les gens curieux, ouverts, vers des lecteurs, des intéressés, des intéressants... Certains font les deux, merci à eux, je ne veux pas donner de leçon, mais ce que j’ai lu me pose question...
Parce qu’en face, c’est une autre sacrée équipe... en face il y a du répondant, pas vraiment de réponses, mais ça fuse... Pour déclencher tant de haine, de colère, il faut vraiment que l’espéranto leur ai fait quelque chose... Quoi ? je l’ignore, ça leur appartient... Ils sont dans la réaction, quand nous nous devons d’être dans l’action.
Quand je vois ce flot de grossièretés, je me dis qu’il faudrait parvenir à élever le débat, ce qui doit être possible, même avec des gens mal élevés... sur un blog -d’une haute bassesse- il nous ai même offert de lire des menaces "sinon je débarque à Moutiers" Ne devrait-on pas signaler certains abus ? il faut savoir faire intervenir des grandes personnes (quand les espaces de débat tourne à la cour de récréation), lorsque les esprits s’échauffent.
Vous, détracteurs de l’espéranto, qu’est que ça peut vous faire, puisque vous prétendez que nous sommes déjà mort, sans avenir et que notre cause est perdue d’avance ? laissez nous nous écraser, vous pourrez jouir de notre défaite... il n’est pas nécessaire de vous exciter à ce point ; c’est sot de votre part, car contre-productif pour vous, puisque si Henri Masson et d’autres se taisent, jamais on ne saura à qui l’avenir donnera raison, car c’est lui qui tranchera...
Bâtisseurs, qui défendez l’espéranto, quel est l’enjeu pour vous ? Quand la force du mépris viendra-t-elle ? il est des murs qu’il vaut mieux contourner, car en fait, ils ne jugulent en rien notre avancée... sauf si on leur consacre trop de temps. Contre l’ignorance, nous pouvons agir, pas contre la bêtise, qui risque plutôt de nous "négativer".
Allez, quelques vers de Kipling :
"Si tu sais méditer, observer et connaître
Sans jamais devenir sceptique ou destructeur ;
Rêver, mais sans laisser ton rêve être ton maître,
Penser sans n’être qu’un penseur ;
Si tu peux être dur sans jamais être en rage,
Si tu peux être brave et jamais imprudent,
Si tu sais être bon, si tu sais être sage
Sans être moral ni pédant ;"
Pour parler des langues, il faut être un minimum clair avec soi-même, car parler des langues, c’est parler de ses mots (maux ?) de sa pensée, de soi, un peu, dont il faut prendre soin, beaucoup.
Nikolao
31/03 00:09 - J.F. Clet
Diviser ce forum en deux colonnes. Une colonne pour les discussions contradictoires au (...)
30/03 23:37 - J.F. Clet
Si vous aimez apprendre les langues, bravo, et encore plus bravo si vous arriver à en (...)
30/03 23:08 - J.F. Clet
Surtout que le mot "mandarin" vient de l’italien (racine "mandare" (...)
26/06 17:16 - Wlad
Si je comprends bien, ce monsieur a essayé de tester la propédeutique de l’e-o ? (...)
26/06 07:55 - Henri Masson
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16/06 12:36 - pokannicknow
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