Castor,
vous dites : "Comme le disait quelqu’un très justement dans cette discussion (mais en tirant la mauvaise conclusion), cette demande de virginité ne regarde que les époux et Dieu, pas les juges ou la famille", c’est justement pour cela que vous semblez vouloir mélanger les genres. Si les juges n’ont pas statuer sur ces affaires de virginité, alors je ne vois pas pourquoi ont les inviteraient à statuer sur le reste et prendre ainsi fait et cause pour l’une ou l’autre parties.
Et vous ajouter : "Et bien oui, c’est parfaitement exact. Et quel respect avez vous pour cet homme dont la conviction religieuse est peut-être qu’il aura honte de se présenter devant son créateur après cette "erreur" ?", le respect que j’ai pour cet homme et ses convictions religieuses n’a rien à voir avec l’utilisation qu’il semble vouloir faire des tribunaux laïcs qui n’ont pas, je vous répète à statuer sur des considérations relevant du religieux ou du sacré. Je vous rappel quand même que les cruxifix ont disparus des prétoires depuis la loi de séparation de l’église et de l’état, ne vous en déplaise !
et enfin : "Pourquoi accepteriez-vous qu’une rombière bon teint obtienne l’annulation de son divorce parce qu’elle pensait épouser un homme du beau monde alors qu’en réalité il était de "basse extraction" et pas cet homme pour qui la question était tout aussi essentielle ? Parce que vous avez une éducation morale ou religieuse différente ?". Vous me prèter des argument que je n’ai jamais tenues. En tous cas, le fait vous qualifiez une femme certes "prétentieuse et ridicule" du terme péjoratif de "rombière" en long sur ce que suspectait chez vous depuis deux jours, à savoir une certaine propention à la misogynie et au machisme.
Je ne m’étonne donc pas que vos arguments prétendument juridiques soient ainsi dénués de tant d’humanité, sauf bien sur quand il s’agit bien sûr de s’apitoyer sur l’infortune des pauvres maris victimes de la lubricité et la pervisité de ces créatures de Satan que sont leurs épouses...
Oui pour vous, le mariage à défaut de ne plus être sacré, est plus simplement condamné à n’être assimiler qu’à un vulgaire contrat de vente, de location ou de prêt. DOCTORY n’a fait que forçer le trait en utilisant l’ineptie de vos arguments par la formule de "garantie décennale sur les qualités substantielles de son futur conjoint". Je m’étonne que vous osiez qualifier cela de "connerie" alors cela va dans la droite ligne de ce que essayez de nous faire admettre depuis deux jours : le contrat et tous ses accessoires. Dans ce cas, il ne faut hésiter à aller jusqu’au bout de son raisonnement !