@ Armelle
« Heureux au milieu des tempêtes », « le grand théâtre de la nature »
« Aucune explication raisonnable »
On peut expliquer psychiatriquement,en faisant intervenir les pulsions szondiennes, le caractère d’homme qui s’alimente puissamment des éléments premiers : le feu, la terre, l’eau et l’air.
Il s’agit de l’épileptoïde, c’est un instinctif, très proche des éléments premiers, il les comprend et vit à leur rythme, il aime le mouvement, l’action, la lutte contre ces éléments quand ils menacent l’homme.
Il s’agit du vecteur des paroxysmes, quelque profession qu’il ait choisie, on y sent toujours l’importance du surmoi et la nécessité de se construire une éthique. Pour éclairer une autre dimension de l’épileptoïde, quand il possède une solide formation, il occupe les plus hautes fonctions dans la société, et son nom traverse l’histoire de l’humanité, Moïse, Alexandre le grand, Napoléon etc... il sent puissamment la présence du divin en lui, ou si vous voulez, le gout de la puissance et de l’éternité.
Le plus simple et le plus rustre est habité par une confiance et une certitude qui lui confère ce qui pour nous représente du courage, pour lui c’est tout à fait naturel.
Dans ma région, c’est l’altitude et la montagne, avec sa part de risque, qui représente l’enjeu margeur, pour les caractères épileptoïdes.
Au niveau socialisé, cette pulsion oriente vers les professions sacerdotales, les professions à hauts risques, au niveau sublimé, c’est le sens du rachat, du sacrifice, les prêtres, les missionnaires.
Les grands marins et les grands montagnards sont de grands amis par cette profonde affinité
Votre article ne suscite pas beaucoup d’intérêt, vous comprenez pourquoi.
Merci Armelle
Jack