"C’est aussi le jour où le Parquet de Paris demande, dans son réquisitoire supplétif, mon renvoi en correctionnelle pour recel d’abus de confiance et recel de vol de documents bancaires en déformant d’une manière particulièrement malhonnête la réalité de mes enquêtes ".
Cela n’a rien d’étonnant quand on sait que les procureurs dépendent directement de la Chancellerie, surtout à Paris, ville de tous les pouvoirs et où se cotoient lors de réceptions diverses, magistrats, hommes politiques, journalistes, personnalités du showbiz, et capitaines d’industrie. En France, il ne faut plus parler de justice mais de système judiciaire au service, non pas du pouvoir mais des pouvoirs (politique, économique voire culturel) ; des commentateurs ont dénoncé une "justice" à deux vitesses : par exemple, lorsqu’une personnalité du showbiz se fait prendre avec de la dope, elle écope d’une condamnation symbolique équivalente à celle d’un grand excès de vitesse ; si c’est un citoyen lambda, il est sûr de passer par la case prison.
C’est pourquoi, pour que l’information passe, il faut faire héberger son site à l’étranger (c’est déjà le cas de libertyvox), utiliser le P2P pour échapper au slapping car plus ce sera diffusé sur la Toile, plus ce genre d’action des multinationales sera inopérante