L’anglais est non seulement une langue facile à mal parler mais, aussi, facile à mal enseigner, une langue qui coûte bien plus à enseigner que l’espéranto pour un niveau équivalent de maîtrise.
Il n’y a pas que les pilotes polonais qui sont concernés. Voir :
Misfunctional FAA phraseologyhttp://www.esperanto-sat.info/article351.html
Des inconvénients de la langue anglaise pour les communications aéronautiques internationaleshttp://www.esperanto-sat.info/article193.html
Le danger au bout de la langue"Ancien pilote de l’Armée de l’Air (Chasse, Hélicoptère), je suis intéressé par un lexique aéronautique en Espéranto. Conscient que ce n’est pas demain que notre Espéranto remplacera l’anglais dans ce domaine, mais il faut espérer ! Quelle que soit la langue, il faut une stricte discipline dans la phraséologie employée pour qu’il n’y ait pas de fausses interprétations de la part des non-natifs. L’espéranto réduirait la part de celles-ci, mais il faut définir des interrogations et des réponses courtes et concises. Ayant été formé dans les écoles américaines, j’ai été moi-même plus que témoin de l’indiscipline verbale ! Sur la base où j’étais, du lundi au vendredi, les règles étaient assez bien respectées car nous étions des stagiaires de près de vingt pays. Or pour une raison de retard dans mon programme, j’ai dû effectuer une mission un samedi ; j’appelle la tour de contrôle pour autorisation de décollage : "Air Force so and so (number) Take-off clearance" la réponse aurait dû être "Clear to take-off" ou "Stand by" or elle fut "Hold clear" et j’ai compris "All clear" et j’ai pénétré sur la piste alors qu’un appareil était en phase d’atterrissage, il s’en est fallu de quelques "pieds" que je ne puisse vous raconter cela aujourd’hui. D’où mon obsession de demandes et de réponses strictement définies. Si je puis vous être utile, ce sera avec plaisir et enthousiasme."
Ce témoignage est de notre ami Guy Touzé, membre d’Espéranto-Vendée et de SAT-Amikaro. A signaler que Kent Jones (Chicago) est à l’origine d’initiatives visant à introduire l’espéranto dans l’aviation. Il a reçu en cela la collaboration de Gilbert Ledon (Brésil) pour la compilation d’une terminologie de l’aviation en espéranto. Elle a été éditée au Brésil en 2002.
30/03 22:26 - J.F. Clet
Nossamelueugat a dit "Donc, la difficulté d’une langue est largement subjective, et (...)
30/03 22:09 - J.F. Clet
nossamelueugat a dit " Si on compare 1500 mots d’espéranto avec 1500 mots (...)
19/06 16:02 - Wlad
Tu sais, c’est comme dans "Notre préssssssssssssssssssscieux"...
19/06 07:54 - Xebeche
Quelqu’un pourrait m’expliquer pourquoi le début de mon message se retrouve à la (...)
19/06 02:01 - Xebeche
19/06 00:52 - skirlet
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