L’UOIF a une mainmise totale sur le Conseil européen de la fatwa - l’exécutif religieux de l’Union des organisations islamiques en Europe (UOIE), sorte de maison mère basée à Londres - qui émet des avis sur la manière dont les musulmans d’Europe doivent se comporter, des fatwas niant le droit des femmes, rejetant l’avortement, justifiant les attentats kamikazes.
A titre d’exemple le Conseil européen de la fatwa a pondu le 28 juillet 2003 à Stockholm une fatwa, qui stipule que les « attentats suicides » n’en sont pas mais plutôt des « gestes de martyrs », parce que les « fils de Sion sont des soldats ». Pour le Conseil européen de la fatwa, aucun fils de Sion ne peut être considéré comme un civil !
Là, nous ne sommes plus dans le soutien, mais dans l’incitation au terrorisme !
De même sur la question de la mixité, des prédicateurs de l’UOIF comme Iquioussen la proscrivent, y compris sur le Web : il est interdit à un garçon de communiquer avec une femme par Internet. Iquioussen dit : « Tu crois que tu es seul avec elle, parce que c’est un dialogue à 500 kilomètres de distance, mais en réalité vous êtes trois : vous deux et le diable. »
D’autres prêches recommandent aux musulmans de ne pas se mêler aux non-musulmans, de se méfier de « l’intégration par le jambon », un péché.
A plusieurs reprises, des dirigeants de l’UOIF ont déclaré publiquement : « Le Coran est notre Constitution. » Ce qui est textuellement la devise des Frères musulmans !
Mais évidemment, oser dire tout cela fait de nous, forcément, de dangereux racistes...