Les français ont tendances à se faire mousser avec la difficulté de la langue française, c’est un manifestation d’élitisme ridicule à une époque où l’éduction a d’autres missions que transmettre une culture ancienne. Les allemands ont simplifiés leur grammaire, les chinois ont réformés leur écriture à plusieurs reprises, mais l’idée d’adapter la langue française aux contraintes modernes ne passe pas.
Dans le fond l’auteur n’a aucun argument autre que la médiocrité médiatique pour mettre en évidence l’incompatibilité entre démocratie et culture. C’est peu, surtout qu’il s’en tient uniquement à l’aspect technique de la langue, et non pas à au fond culturel qui lui implique des connaissances littéraire, historique, philosophique et scientifique. Qu’il ose écrire que la connaissance scientifique et historique n’a pas avancés en France depuis les années 50-60.
J’ai une vision profondément utilitariste du langage et de l’enseignement, elle n’est évidement pas partagée par l’élite "intellectuelle", représentée par des boulés comme BHL ou Finkielkraut. Pendant ce temps là le français moyen à un niveau intellectuel sans commune mesure avec le français moyen de 1950.