@ Léon,
Et celle du juge qui accède à une demande condamnable de l’homme. Je me situe là sur le plan moral et pas juridique.
Désolé, mais vous vous placez sur les deux plans (moral et juridique.) Dans le cas contraire, il faudrait nous expliquer ce qui vous permet de dire que la demande du mari n’était pas recevable, en droit.
A toutes fins utiles, rappelons que ce genre d’affaire passe nécessairement entre les mains du procureur de la République. Celui-ci a reconnu le bien-fondé, en droit, de la demande du mari et a donc laissé au juge du fond le soin de trancher.
Allez-vous prétendre également que procureur est incompétent en droit ?
A vous lire, il n’y aurait même que vous seul à connaître le droit. Aussi, quand vous prétendez qu’un intervenant n’est pas compétent, essayez de lire d’abord son CV.
Par ailleurs, JC Moreau raconte un certain nombre de bétises.
C’est Léon qui écrit ça. A mourir de rire !
"Je suis désolé de tels principe généraux existent pour tout acte juridique (conditions relatives au consentement, à la cause, à l’objet, c’est effectivement le cas du mariage blanc pour obtenir des papiers) pourquoi le mariage y échapperait-il ?"
Ce qui est formidable, avec vous, c’est que tantôt le mariage n’est pas un contrat, tantôt c’est un contrat "comme les autres." Si vous relisiez ce que vous avez écrit ("conditions relatives au consentement, à la cause, à l’objet"), vous en déduiriez que le consentement, dans l’affaire qui nous occupe, n’a pas été donné en connaissance de cause. Si donc le mariage obéit aux même règles que "tout acte juridique", je m’étonne que vous voyiez quoi que ce soit de scandaleux dans cette annulation.
Votre logique "juridique" m’échappe totalement.