Le WTC7 est le noyau dur de la demande de vérité sur le 11 septembre car la démolition contrôlée de ce bâtiment est absolument indiscutable. Aucun scientifique qui se respecte ne pourra jamais tordre la science pour établir une théorie loufoque pour expliquer comment un bâtiment quasi neuf (20 ans), un mastodonte d’une conception suffisamment solide pour abriter sur 3 étages le bunker de la mairie de New-York, a pu s’effondrer de manière totalement symétrique, à la vitesse de la chute libre et en implosant de façon à n’endommager aucun des bâtiments adjacents, et ce en raison de quelques incendies éparses. Même les scientifiques jaunes du NIST, pourtant payés pour pondre des théories en partant des conclusions préalablement fournies par leurs employeurs (le ministère du Commerce, le directeur du NIST est nommé par Bush lui-même), même ces scientifiques plus que vendus ont reconnu que leur hypothèse d’effondrement dû au feu était d’un niveau de probabilité extrêmement faible... Les témoignages d’explosions, notamment dans les sous-sols avant même la chute des tours, se comptent par dizaines. Ces explosions dans les sous-sols étaient le fait du travail de sape de la base des colonnes de soutien, préalable à la démolition finale au cours de laquelle on voit bien que le bâtiment s’effondre sur sa base.
Le Nist annonce son rapport final sur le WTC7 pour cet été (après 7 ans...) et semble vouloir renforcer sa théorie foireuse d’un effondrement dû au feu, après avoir laissé tomber ces précédentes hypothèses comiques comme celles des réservoir de fuel qui avait sourire tous les spécialistes du monde qui avaient pris la peine de se pencher sur leurs indigestes travaux.... Sauf surprise majeure la BBC semble devoir participer à l’offensive de désinformation lourde qui se prépare pour tenter d’en finir avec une question qui devient de plus gênante pour la junte au pouvoir depuis les fraudes électorales de 2000 (et pour beaucoup d’acteurs financiers et industriels ayant tirés d’énormes bénéfices des attaques du 11 septembre, des guerres qui ont suivi et de la pantalonnade médiatique si juteuse qu’on appelle "la guerre à la terreur"...)