@ Rol8329
Je ne défends pas une personne. Je ne la connais pas.
Je défends des relations de droit.
Dans cette affaire, ces relations de droit ont été mises à mal :
1- Une garde à vue pour une gifle et un problème disciplinaire interne à l’institution ;
2- Une atteinte à la présomption d’innocence ;
3- Une absence de protection statutaire due par la collectivité publique ;
4- La collecte attentive des témoignages d’élèves, quand je cite un cas où au contraire on s’empresse de surtout les écarter ;
5- L’utilisation d’allégations qui ont tout l’air de ragots colportés, sauf à préciser quelles suites ont été données à ces plaintes.
Est-ce que le procureur n’a pas fait de cette affaire une affaire personnelle depuis que, dans ses points de presse, il a si peu respecté la présomption d’innocence ? Alors il aurait tenté d’impressionner le tribunal en lançant des allégations qui
- ou bien ont laissé des traces judiciaires accusatrices (que les amnisties présidentielles passées ont dû effacer)
- ou n’en ont laissé aucune.
Et dans les deux cas, a-t-on le droit d’en parler dans cette affaire qui n’a rien à voir avec ?
Attention, c’est en violant les règles de procédure qu’on commet de graves erreurs. Paul Villach