Les dieux n’aident pas toujours ceux qui méprisent les petits,

Cette farce politique sera t-elle encore jouée demain ?

Ne serait-il pas plutôt digne d’entrer dans un cirque, de rentrer au Zoo ?

Ses grimaces de plus augmentent-elles vraiment son prestige ?

Par une impatience de plus, pourvu qu’il ne fasse pas plus de dégâts,

Un esprit pas tout-à-fait sain dans un corps pas tout à fait maîtrisé,

Avec son salaire, combien de temps va-t-il encore vider les caisses ?

Où vas celui qui s’impatiente et qui fait tant de grimaces à la télé ?

Vanité des vanités des vanités tel disait l’Ecclésiaste,

A l’entendre la France devrait aussi diriger l’univers tout entier,

Hélas l’abîme appelle l’abîme, l’impatient, l’impatience de plus,

Exécrable faim de réforme, et puis après, que voyons nous de mieux ?

Un singe de plus n’apporte pas toujours la réforme,

Mal voter, ce n’est jamais mieux vivre en société,

Réformer rapidement, ce n’est pas non plus mieux faire,

Un sournois ne réjouit jamais le coeur des hommes,

Qu’il ne réjouisse pas trop vite d’agir vainement ainsi,

Rien ne sert de réformer en vitesse, encore faut-il
apprendre à écouter le point de vue d’un autre.

Pourvu que les gens finissent par ouvrir les yeux.

Ruse ou mensonge, orgueil ou vanité tout démon de
la politique ne sort pas toujours d’un même parti.

Persévérer dans l’erreur est diabolique, orgueil et vanité,

Brusquement, sans préambule, il décide de faire ceci ou celà
comme bon lui semble, ex officio malheureusement.

Pourvu qu’il ne fasse pas plus de dégâts encore,

Il ne compte les heures, que s’il s’agite davantage encore,

Grimace partout ou il se montre, Même aussi en Europe hélas,

Qu’importe la façon dont il faut agir, tête baissée et en vitesse,

La politique aveugle le monde, Odeur de souffre et de désolation,

Sauvez l’homme de l’enfer, si vous ne suivez pas le diable,

Souviens-toi que tu es poussière, ta vaine politique aussi,

Il n’y a pas de petit tyran qui puisse tenir bien longtemps
contre tout un peuple qui en finit par perdre patience,

Nul ne peut être à la fois un bon juge et partie, pour qui
donc je vote ? 

Sa vaine gouvernance est un mauvais présage pour l’Europe,

En mon Ame et conscience Je ne puis le suivre plus longtemps,
sans rien dire, sans l’ouvrir, c’est contraire à ma foi, à mes
idéaux.

Je ne vis pas seulement en société pour gagner de l’argent,

Pas de jour sans qu’il se vante de faire encore ceci ou celà.

Plusieurs yeux voient mieux qu’un seul, pourtant ils ont
des yeux mais ne voient pas, ils sont si attachés à leur
même esprit de parti.

Tout homme est menteur, encore plus s’il prétend être
un Saint en politique.

Qui ne sait maîtriser ses excès ne sait pas régner en paix,

Après les ténèbres viendra certainement la lumière,

Afin de mieux éviter la catastrophe, ne vas pas toujours dîner à la table des puissants,

Ce qui est un remède pour certains est poison violent pour d’autres,

Un homme qui n’est pas en paix avec lui-même, avec son même esprit de parti, ne peut bien sur vraiment rendre service à une société.

De plus l’interventionnisme conduit toujours historiquement au socialisme en retour,

De conduite sournoise, comment pourrait-il vraiment être aimable, et m’inspirer confiance ?

A quoi sert le Sénat, lorsque César n’en fait plus qu’à sa tête,

A quoi servent les Légions, lorsque César n’en fait plus qu’à sa tête,

Prenez garde à ce qu’il n’en fasse pas trop quand même,

Les discours et les paroles s’envolent, mais les écrits restent,

La démesure dans l’éducation engendre aussi des petits tyrans,

Le temps, la richesse, le pouvoir n’enseigne pas toujours le politique,

La Nature ne travaille jamais par sauts rapides,