N’en déplaise à certains, l’Europe est partout dans notre quotidien. C’est un projet singulier avec la paix pour ciment, l’intégration économique et politique comme moteurs, et le rêve d’une communauté de destin.
Il n’y a pas besoin d’être un fin stratège géopolitique pour savoir qu’à l’heure de la mondialisation, il n’y a point de salut dans le nationalisme. Cette insularité confinerait à la marginalité, incapable d’influer sur les problèmes planétaires et continentaux (effet de serre, immigration, sécurité, économie, ...). Il faudrait d’urgence diffuser se message à toutes les démocraties d’Europe, le buzz du blog peut y participer pour propager ce message de vérité dans une Union plus ou moins intégrée.
Alors, oui, il y a eu les escrocs du Plan B, mais il faut faire avec la réalité, « les faits sont tétus », mais comment faire vivre le projet d’Europe ?
Car, on le voit bien que la panne ou l’abscence de projet européen, de véritables politiques mobilisatrices (ou projets mobilisateurs pour être plus modeste), laisse un manque, et permet au vents mauvais de redoubler d’effet à nos frontières orientales.
Comment mettre en place une gouvernance européenne en phase avec les enjeux du monde, dans le vide institutionnel ?
Pourrait-on imaginer une gouvernance ouverte et dynamique, dans l’esprit des traités, mais qui ne passerait pas nécessairement à 25 et bientôt 27) ?
Gouvernance des cercles en quelques sortes, à 3, 6, 12, ou 15 pays pouvant initier des intiatives communes, pour relancer la boite à soutien de projets qu’a été la Commission.
Sur la base d’initiatives communes, permettre à la société civile, économique, sociale (et in fine politique) de renforcer l’objectif visé par l’action ...
Peut être que nous n’empècherons pas les vents mauvais, mais au moins, nous apprendrons à les maîtriser.