Pour une fois, article assez pertinent de ça dérange. Un bug juste :
"Effort dont nous avons vu quelques effets dans les usines françaises de certaines sociétés allemandes qui ont appliqué les mêmes principes avec l’assentiment des syndicats locaux et du personnel (Bosch à Venissieux, etc.). C’est d’ailleurs cet effort du secteur industriel qui a permis à l’Allemagne un retournement spectaculaire de sa balance des paiements."
Sur Bosh Venissieux :
La direction de l’usine Bosch de Vénissieux (790 salariés) a sollicité un cabinet de psychologues pour tenter de remédier au mal-être exprimé par une partie du personnel. Des cas de « stress et de souffrance » qui, ajoutés à des revendications salariales, ont motivé quelques récents débrayages. Jacques Rigobello (CHST) n’hésitent pas à évoquer « Les Temps modernes » de Chaplin : « Il ne s’agit pas de verser dans la caricature mais les ouvriers à la production sont réduits au rôle de simple exécutant. On demande ainsi à
des gens qualifiés de subitement répéter les mêmes gestes pendant huit heures en restant debout dans un espace confiné en “U”, avec des temps de pause réduits. C’est très physique, abrutissant et dévalorisant. » Serge Truscello délégué CGT, poursuit : « Jusqu’alors, chacun avait une certaine latitude pour organiser son travail.
Bosh Beauvais
Alors que Bosch a annoncé jeudi la prochaine fermeture de l’usine de Beauvais qui fabrique des systèmes de freinage, pour cause de "marché difficile", les 240 salariés du site se mobilisent. Et font des propositions à la direction pour qu’elle renonce à son projet. Première concession : renoncer à leurs 12 jours annuels de RTT. Ils sont aussi prêts à accepter un gel des salaires pendant deux ans. Un début de réponse devrait peut-être être apporté mercredi matin.
Super, mêmes les employés supplient l’employeur de travailelr plus pour gagner MOINS Ils sont compréhensif, surtout que Bosch c’est : 47 milliards de chiffre d’affaires en 2007 et 3,6 milliards de bénéfices. Combien versé en dividende ?
N’en déplaise ce chantage continuera à la délocalisation et s’intensifiera. Pourquoi s’arrêter à 40 heures de boulot et réduire les conditions de travail etd e salaire, si encore plus de bénéfices peuivent être retiré en faisant chnater les salariés ?