Pas besoin d’argumenter sur Anti-JBR : il n’y a aucun arguments. Je te défie de trouver un seul point où l’auteur de cette pseudodémonstration a raison.
Si j’ai enlevé la partie "un individu", c’est parce que cela n’apportait rien au débat, ni dans un sens, ni dans l’autre.
Enfin, il est amusant que Masson croie que l’avis de Malherbe a plus de valeur que celui de JBR. Plus haut, il se moque de moi en disant que je serait prétendument à la recherche d’une référence plus fiable selon lui, que l’argumentation (pourtant inaltérable) de JBR. C’est assez cocasse, car les deux analyses ne se situent pas du tout sur le même plan : JBR fait une analyse fine de la langue, la passe sous les fourches caudines de ses quatres critères, la passe à sa moulinette de linguiste et expose ses conclusions argumentées et raisonnée sur la langue en elle même, sans se préoccuper de ses locuteurs. Malherbe analyse la langue d’un point de vue social, expose quelques raisons linguistiques mais surtout sociales de son échec. D’ailleurs, la différence vient aussi du fait que, contrairement à ce que j’ai bêtement dit plus tôt, Malherbe a beau être un intellectuel d’une volée bien plus haute (X-ponts) que Piron, il n’est pas linguiste.
Typhon