De Franc :
"je persiste à dire qu’il y a forcément un lien,d’une manière ou d’une autre entre les faux-noms ou prête-noms et les possesseurs du compte secret sinon comment physiquement ceux peuvent-ils réclamer leurs avoirs sans se faire connaitre-----------------n’import e quel individu ne peut prétendre être le détenteur du comte"
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Et moi je persiste à vous dire qu’il n’y a aucun lien entre les prête-noms et le "possesseur du compte". C’est même un point essentiel.
Vous faites une confusion entre plusieurs notions et entre plusieurs personnages, qui sont bien distincts et qui chacun joue un rôle dans le montage :
Il y a d’abord les titulaires du compte, ce sont ceux dont le compte porte le nom. Ils ne connaissent pas l’existence de ce compte, ni l’existence du propriétaire des fonds qui transitent sur ce compte.
Il y a ensuite celui qui a reçu le pouvoir d’ouvrir le compte et de le faire fonctionner et qui a aussi pouvoir de déléguer une partie de ses propres pouvoir à des tiers.
Il y a enfin celui qui alimente le compte et qui le fait fonctionner, souvent sur simple coup de téléphone. C’est celui que vous appelez improprement le "possesseur du compte", car en fait il ne possède que les fonds qu’il fait verser sur ce compte.
Encore une fois, ces gens se sont réunit expressement pour pouvoir traiter leurs affaires sans que des gens comme vous puisse aller y fourrer le nez.
Incantations, ou pas, comment allez-vous faire pour empêcher ces gens d’exercer leur liberté de s’occuper de leurs affaires sans vous demander votre avis ?
Surtout lorsqu’ils exercent leur droit au Kamtchatka ou au Luxembourg sans vous prévenir à l’avance ?
Votre croisade est sans objet, occupez-vous de votre jardin.