&Cela ne résout qu’a moitié le problème. D’autant que si l’un des arguments espéreux est celui d’une communication facilitée par une formation de phrases soi-disant plus pratiquable, il est réduit à néant et on se retrouve avec le même problème que dans d’autres langues, l’incapacité à parler couramment quand on est étranger. ça tombe bien tous les locuteurs de l’espéranto sont étrangers pour cette langue ! deux cent mille personnes qui se comprennent mal... LOL... &
dans toute langue il existe un débit de parole standart, dont le standart est la comprehention , ce débit est different d’une langue à l’autre et l’esperanto ne fait pas exception
&Par ailleurs, je croyais que l’espéranto était une langue régulière où les règles ne souffraient pas d’exception. Vous plongez doc dans un abîme de perplexité : comment voulez vous qu’un monosyllabe soit accentué alors que les mots espéranto sont systématiquement accentués sur l’avant dernière ? Fait on un e exception pour les monosyllabes ? Si on fait des exceptions, où va t’on ? &
et bien on ne va nul par, dans toute langue l’accent tonique dans un monosylabe est justement le monossylabe en question de plus en esperanto les monosyllabes sont des radicaux par exemple mi ( je) est mio ( le moi) donc mi dans mio possede l’accent donc mi automatiquement