@ l’auteur
C’est oublier les fondements même de la réalité du moment : le pétrole n’est plus pompé, les ports ne s’approvisionnent plus, l’électricité n’est plus produite pour la simple raison qu’il n’y a plus de fonctionnaires en place pour décider quoi faire et quand.
??? Tu penses vraiment que le pétrole en Irak est laissé à l’abandon ? Avec le fric qu’il y a à se faire, nul doute qu’ils n’ont pas manqué de mains d’oeuvre, ou de fonctionnaires, côté irakien et surtout US. Les militaires sont présents comme il se doit dans les zones stratégiques "VIP", pour protéger celles et ceux qui engraissent les comptes en banque des leaders responsables de ce merdier, et des autres. Les USA ont la main mise sur ce pays. Il n’y a plus de gouvernement autonome. Ce sont les rois là-bas maintenant. Les rois du pétrole ! Avec le prix du baril qui ne cesse de grimper, grimper, ... (?) je n’ose imaginer que les compagnies pétrolières, dans lesquelles Bush (toute la famille) et ses acolytes ont investi des deniers, se privent de s’abreuver de cet hydrocarbure en fin de vie, de peur de passer pour des êtres égoïstes et cyniques aux yeux du Monde cela va de soi... Ô.o
Les pseudo-accords entre l’Irak et les USA, c’est de la poudre aux yeux, c’est pour la bonne forme. L’or noir est pompé depuis des années, sans interruption ou presque, sous contrôle des Ricains. Ils peuvent avoir le beurre, position géo-stratégique, et l’argent du beurre, le pétrole. Alors, en ces temps de nécessité imposée des carburants fossiles, et avec l’arrivée d’hyper-puissants concurrents en herbe, autant en profiter et enrichissons-nous gaiement... Est-ce le peuple Irakien qui a décidé de céder ses précieuses richesses naturelles aux envahisseurs ?! Ou l’alter ego d’Hamid Karzaï... ? Ceux qui mènent la danse en Irak depuis des années, et qui ont tout mis en oeuvre pour partir en guerre illégitimement, sont de la même trempe que les organisateurs de l’invasion de la Palestine, du Viet-Nam, de l’Afghanistan, ou même du Tibet (des tyrans restent des tyrans), et j’en passe... Et demain, et demain...