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Commentaire de Gilles

sur Au coeur des universités américaines


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Gilles Gilles 14 juillet 2008 15:10

Etudiant pendant un an à McGill, mais en 1993 et en Physique (3em année de bachelor), j’avais par contre trouvé l’enseignement, l’environnement et surtout les méthodes d’enseignement, bien meilleures qu’à Paris XI.

Les profs étaient tous des chercheurs (des bons et des mauvais...comme en France) . Par contre, grosse différence avec la France, un travail continu soutenu (un assignment noté, totalement imbitable et souvent en avance sur le cours, par matière (5) toute les deux semaines), une organisation et une énorme autonomie demandée aux étudiants. En fait c’est aux étudiant de le découvrir et de s’y adapter car ni la fac ni les profs n’aident en donnant des TD, cours de soutien( sauf exection),tutorat.....et la concurrence entre élèves (surtout de la part des anglophones) rend difficile la coopération entre les étudiants

Résultat : vous glandiez un mois, et vous ètiez MORT. Par contre en s’accrochant, à la fin de l’année on se rendait compte que l’on avait bien plus progressé qu’en une année en France, et pour ceux qui voulaient s’orienter recherche les acquis dans la méthodologie étaient indéniables. Pour les "inadaptés "ou en difficulté pour xxx raisons, par contre aucune pitié, aucune seconde chance..... ;dehors ou plus petit diplôme

MAis c’était il y a 15 ans................


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