Bonjour Bulgroz,
L’auteure parle de trois agressions perpétrées par, respectivement 2 clodos d’apparence maghrébine d’un certain âge, une bande d’ados "français" et un jeune "Français". On est donc assez loin de votre listing ethniquement ciblé. Mais la tentation était sans doute trop forte. Vous ne pouviez réprimer votre piochage compulsif, que la circonstance s’y prête ou non, dans votre havresac idéologique des nombreuses illustrations de l’affreux Français d’origine d’Afrique du nord ou subsaharienne. J’espère au moins qu’au niveau sécrétions ça va mieux à présent ? Sinon je recommande une petite visite à l’apothicaire le plus proche !!!
Autrement je vous rejoins tout à fait. Vos faits divers sont aujourd’hui légon. De quoi légitimement inquiéter ; et je comprend la peur de plus en plus palpable, notammet celle de l’auteure (qui n’a rien à voir avec celle que vous voulez instiller). Cela ne laisse pas d’interpeller ma curiosité sur les raisons structurelles de cette délinquance qui serait due au racisme antiblanc que vos articles évoquent et qui serait l’apanage excusif de vos jeunes amis subméditerranéens. Cela me conduit à me demander par quel mystérieux mécanisme se fait jour ce racisme chez ceux-ci (majoritairement nés en France) alors que leurs congénères nés aux pays de leurs parents en sont miraculeusement exempts (du moins avec une acuité approchante) ! Que je saches, les touristes ou coopérants européens en Afrique ne sont pas victimes de la délinquance locale plus que les autochtones. Je dirais même qu’ils jouissent d’un certain "racisme" à rebours qui idéalise l’Occidental évolué en opposition à l’arriération mentale du local sous-développé (qui personnellement m’horripile)...
Mystère... A moins que... Je me souviens dans ma jeunesse du fils du voisin qui avait adopté un chiot errant. Au début aux petits soins avec son nouveau joujou, il se laissa progressivement aller à une cruauté d’enfant assez répandue sous nos cieux. Des petites touches insignifiantes mais régulières. Que pensez-vous qu’il se soit passé ? Le chien fut euthanasié et le gosse, aujourd’hui adulte, porte encore au visage les traces de deux profondes morsures.
BMD