&"&On remarque tout d’abord que l’article de critique de l’esperanto n’a pas été traduit en esperanto ! &
heu lequel ? certains sont en esperanto "
Putain mais t’es vraiment con, en fait !
Celui-là, qui s’appelle "Critiques de l’espéranto", comme on vient de te le dire ! &
on me donne quatres liens sans me preciser lequel, c’est tout
&"&De plus à sa formation le vocabulaire était purement indo-européens (pas de slaves ni de russe qui pourtant intéréssait le créateur) pour ne pas choquer les futurs locuteurs ! &
reussir à faire un vocabulaire totalent international est totalement impossible"
Donc, là où tu chiales parce que "ouin ouin les méchants rosbifs ils nous imposent leur sabir avec des mots qu’on connaît pas dedans", ça ne te gêne pas de vouloir que tout le monde parle un langage dont les mots viennent d’une région donnée ? &
indo-eurpoenne ca regroupe 40% du globe et gramaire simple ca regroupe 70% du globe dont principalement les langues non indoeuropéennes. Au passage l’anglais est encore plus genant car 100% anglais sans faire d’anglophobie. L’international est quelque chose de très subjectif et contruire une langue totalment artificielle au sens m^me des mots est trop complexe du fait du problmes des champs semantiques qui peuevnt se recouper ou être larges dans certains langues plus que d’autres, d’ou un problme de compréhension
&Mais c’est de l’impérialisme, ça, mon bon monsieur ! Ça va faire gagner des milliards aux natifs de la région en question ! C’est ignoble ! Ça va donner lieu à l’apparition de mouvements de propagande comme le British Council, genre "l’European Esperantist Council !" &
non ce n’est pas de l’imperialisme c’est la condition des contraintes pour une langue anationale. ceux qui ont voules faire trop européen comme l’ido ou l’interlingue n’ont pas eut de migration ver sleur langue ainsi que ceux qui ont optés pour une totalement inventé ou hyper modifié.
en gros à travers le monde des gens ont choisie le mions mauvais car AUCUNE langue ne peut être parfaite
Comme quoi votre lutte pour l’e-o, comme on le disait, ne repose absolument pas sur l’e-o, mais plus sur l’anglophobie.