Salut les filles !
Bon le topo sur l’hydrogène est pas mal mais il faut savoir que le soucis du H2 n’est pas sa seule casserole loin de là.
l’hydrogène traine des tares fondamentales dont certaines impossibles à franchir.
à la production :
l’hydrogène gazeux une fois liquéfié fuit inexorablement (molécule la plus petite de l’univers, il n’existe pas de matériaux totalement étanche à l’h2) ce qui vient grever légèrement la performance, mais surtout pourrait poser problème dans une utilisation collective souterraine.
- si on le produit électriquement : aux 70% de pertes énergétique produite par la centrale électrique il faut cumuler 25% de perte par électrolyse (meilleure hypothèse). autre filière, la production directe par un réacteur nucléaire. meilleure conversion espérée : 40% de pertes énergétique
- si on le produit par des sources renouvellables il faudra accepter de rajouter à leur déplorables rendement un surcroit de perte électrolytiques de 25%
- une fois stocké (+ fuites) on le passe dans une pile à combustible qui dans le meilleur des cas re-pert 50 à 60% de l’énergie lors de la re-conversion en électricité
moralité : les meilleurs prototypes font DU PUIT A LA ROUE (qu’on ne me fasse pas dire ce que je n’ai pas dit) le MÊME RENDEMENT QU’UN DIESEL PERFORMANT voir moins bien
Alors pourquoi ? parceque ça interresse les gaziers, seuls à pouvoir fournir les quantité industrielles nécéssaires !!! et donc les pétroliers/gaziers actuels qui dealent avec les firmes auto
A QUOI S’OPPOSE LA FILIERE H2 ?
- à la réduction des besoin
- à la destruction du réseau de fourniture de carburant par un système tout électrique de bout en bout considérablement plus rentable (via captage par induction dans la chaussée + batteries par exemple)
- à certaines filières biocarburant qui présentent un rendement énergétiqe et Co2 bien supérieur au H2
avant de critiquer ce post, vérifiez chacune de ces assertions point par point et on en reparle