@Claude, lorsque vous dites : "Cette prise en charge technologique a permit de sauver tant de vies que ce soit celles des mamans ou des bébés ! "
C’est possible.
Ce serait bien de le prouver quelles prises en charge technologiques ont permis de sauver des vies.
La supposition qui amène à dire "plus il y a de technologie, plus c’est sûr" n’est-elle pas juste une croyance ?
@Claude encore. Vous dites "il faut se méfier de ces modes "retour au naturel" qui se font souvent aux dépends de la sécurité des mères et des enfants ! "
J’ai du mal à voir quel retour au naturel prône cet article. Mme Chaumont ne parle pas de naturel. Le mot "naturel" n’apparaît d’ailleurs pas dans son article. Mme Chaumont demande à ce que soient utilisées les technologies et interventions dont l’utilité est démontrée. Pas celles dont l’inutilité est démontrée. A plus forte raison lorsque ces interventions génèrent de l’inconfort, voire introduit des risques.
@Claude à nouveau. Vous dites : "entre le tout "technologie" et le retour à la nature, il y a certainement un juste milieu à trouver pour sauver le plus de vies possible ! "
Quelles pistes avons-nous pour déterminer ce "juste milieu" ? (et le juste milieu est-il le même pour chaque accouchement, même s’il est parfaitement normal ?).
@belbernard. Vous dites : "1) Ne pas confondre "mortalité infantile" et "mortalité infantile périnatale". "
Quelle définition de la mortalité périnatale ? Est-ce la même dans chaque pays ?
@belbernard. Vous dites : "si l’on cherche à justifier une pratique médicale c’est la médecine factuelle qu’il faut interroger et non les affirmations d’experts autoproclamés, fussent-ils membres d’une académie par ailleurs très respectable... "
Bien que je n’aime pas que vous qualifiiez l’académie de médecine d’expert Autoproclamés, je vous suis tout à fait dans l’utilisation de la médecine factuelle (Evidence base medicine ou EBM, en anglais - on fonde les recommandations médicales sur des faits, et non des suppositions. Des faits, c’est des résultats qu’on a prouvés sur plein de vrais patients que, par exemple, on sépare en deux groupes et à qui on applique des traitements différents. Puis on regarde les résulats obtenus dans chaque groupe).