Quentin : "La première consiste à emmettre une hypothèse, puis à rassembler tous les éléments qui corroborent à cette hypothèse. "
On peut aussi "forcer" les éléments à corroborer cette hypothèse.
C’est exactement ce qui c’est passé pour le 11 septembre 2001.
- Avant même la fin des attaques, en direct, les "experts" des principaux networks US injectent d’autorité deux hypothèses : la parternité de celles-ci à Ben Laden et Al Qaeda + le feu comme cause de l’effondrement des tours. Dans les heures qui suivent, la théorie du complot islamiste est officiellement validée par l’administration Bush.
- Dans les mois et les années qui suivent, les travaux du NIST et ceux de la Commission d’enquête n’ont consisté qu’à "nourrir" ces deux hypothèses en biaisant les faits et surtout en éludant systématiquement tout ce qui les invalidait de façon incontestable.
C’est pourquoi le démarche de Richard Gage, entre autres, est la seule acceptable : un examen des faits et des éléments de façon empirique, sans hypothèse pré-établie. Cette méthode établissant sans l’ombre d’un doute l’inanité de la "version officielle", qui est en fait une version gouvernementale, elle ne peut conduire qu’à l’exigence d’une réouverture du dossier et de la mise en place d’une investigation criminelle et scientifique indépendante.