Quoi, c’est pas encore réglé c’t’affaire,
Attends, je rève, depuis quarente ans j’entends la même rengaine... ! Plus le temps passe, plus les poisons sont violents, moins l’Etat ne trouve de solutions, plus les mafias en profitent, plus les sectes s’installent, plus notre jeunesse en bave, et toujours pas l’once d’une voie salutaire à l’horizon ! Ce sont ceux qui n’y connaissent rien sur le sujet qui ont la parole et prennent les décisions, résultat, elles vont à l’encontre des souhaits exprimés, et les effets néfastes sont de plus en plus graves. L’eternel même débat s’engage régulièrement dans des commissions d’Etat, dans des émissions télévisées, depuis des décennies et toujours rien de concret. Pendant ce temps là, on voit des stars qui vont, avec un rail de coke dans le nez, saluer Ingrid Betancourt dans son noble combat contre la corruption et le trafic de drogue mondiale issue de Colombie...Pendant ce temps là, la musique de merde envahit la scène musicale en plein air ou en boites de nuit, au point que pour la supporter, il faut au moins une surdose d’exstazy et autres cochonneries issues parfois directement de la pharmacie du coin, autre empoisonneur légal...
Moi, personnellement, cela ne regarde que moi, j’ai depuis longtemps décidé de ne pas m’en remettre au commerce international. Je produis, de façon totalement naturelle un pied contre un mur de pierre plein soleil. Résultat, il me fait trois cent têtes qui chacune me fait l’effet d’une bouteille d’un bon Champagne...et cela entièrement gratuit...
Pourquoi aller payer plus cher des saloperies coupées avec n’importe quelle substance légale mais dangereuse, alors qu’il suffit de produire un pied chez soi ? Ce sont les mêmes qui interdisent la production autonome personnelle, et génèrent le trafic mondial et la résurgence de solutions parallèles nuisibles dont ils profitent à long terme.
Pourrir la jeunesse française, c’est capter son héritage.
L’Héroïne, la cocaïne étaient des substances légales au début du siècle dernier et ont fait les beaux jours des laboratoirs pharmaceutiques. Leur interdiction légale a entrainé le trafic mafieux qui ne cesse d’enfler, comme du temps célèbre de la "prohibition". La répression étatique coûte de plus en plus cher aux contribuables, et les résultats montrent la progression constante des chiffres en poids collectés, en jeunes affectés de plus en plus jeunes, et en conséquences sociales.
On ne peut pas comparer et il est dangereux de mettre dans le même panier "plan naturel sur balcon" et "complexité chimique de poisons divers et variés tous plus dangereux les uns que les autres mais conglomérés en cachets infames".
comme disait si bien La Fontaine, il faut séparer le "loup" du "chou et de la chèvre"...