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Commentaire de FYI

sur Géorgie : les dessous de l'échiquier


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FYI FYI 11 août 2008 17:55

Je reconfirme les propos de l’auteur concernant un certain "georges soros"

George Soros, le «  parrain d’Obama  », cherche à provoquer la 3e guerre mondiale dans le Caucase
11 août 2008 

 

Certain commence a mettre en cause le rôle de "l’agent britannique" George Soros dans l’opération visant à provoquer une troisième guerre mondiale dans le Caucase. Or, Soros s’avère être «  le parrain  » à la fois du président géorgien Mikheil Saakashvili et du candidat à l’investiture démocrate américaine, Barack Obama.

Le 7 août, lorsqu’en fin de soirée, le président Saakashvili termine son allocution à la télévision nationale géorgienne, faisant croire au monde qu’il cherche honnêtement une solution diplomatique pour résoudre la crise qui frappe la région autonome d’Ossétie du Sud, il vient en réalité de donner l’assaut contre des militaires russes faisant partie d’une mission de la paix mandatée par l’ONU et stationnée dans la région depuis 1994.

Cette action irresponsable, si elle n’est pas arrêtée, risque d’attiser un nouveau conflit mondial, ce qui semble être la réponse de l’oligarchie financière à la faillite systémique d’un système financier qu’elle dominait.

«  Si vous voulez vous faire une idée de ce que seront les Etats-Unis sous le président Obama, regardez ce que vient de décider la Géorgie. Le président Saakashvili, autant que Barack Obama, partagent le même ‘parrain’ : George Soros  » «  Est-ce que l’homme de Soros, Barack Obama, sera, une fois élu, un autre Dick Cheney  ?  » on peut s’interroger.

Le «  philanthrope  » Soros est le fondateur et le contrôleur de l’Open Society Institute (OSI), une ONG qui fut la pièce maîtresse de la «  Révolution des roses  » qui a porté Saakashvili au pouvoir en 2003. Le 23 janvier 2004, au World Economic Forum de Davos, Soros s’est entretenu avec Saakashvilli et l’OSI a annoncé qu’elle allait directement financer la «  réforme  » du gouvernement géorgien dans le programme conjoint du Programme des Nations Unies pour le développement (UNDP), à l’époque présidé par Mark Malloch Brown, un intime de Soros.

Malloch Brown, un ami de Wolfowitz, est aujourd’hui le secrétaire général du ministère des affaires étrangères (Foreign Office ou British Foreign and Commonwealth Office). Lorsque Malloch Brown était en poste à l’ONU, George Soros lui a procuré une villa pour en faire son voisin.

En attaquant les troupes russes et en tuant des populations civiles en Ossétie du Sud, dont la plupart possèdent la double nationalité russo-géorgienne, les provocations incessantes de Saakashvili ont conduit la Russie à entrer dans le conflit pour défendre ses citoyens.

Les Britanniques ont exacerbé la plupart des «  conflits gelés  » du Caucase depuis l’effondrement de l’Union soviétique. Ils ont armé les rebelles tchétchènes, ils «  ferment les yeux  » quand ces mouvements recrutent dans les mosquées de Londres et ils ont accueilli chez eux des oligarques de la mafia russe, comme Boris Berezovsky, grand mécène des opérations séparatistes et terroristes anti-russes dans le Caucase.

«  C’est de ce point de vue qu’il faut regarder l’argent qu’injecte Soros dans la campagne d’Obama  ». Soros est un agent britannique, sous le contrôle des services spéciaux et de renseignement anglais. Ils s’en servent. L’origine de ses fonds, à part ses premiers capitaux qui provenaient de la branche suisse du clan Rothschild, pour le moins, opaque.

«  Soros est au centre de la nouvelle guerre de l’opium anglaise – et il est quasiment le propriétaire du sénateur Obama. Il attise un conflit avec la Russie au moment même où les anti-ultralibéraux font appel à ce pays, ainsi qu’ à la Chine et qu’à l’Inde pour qu’ils se joignent aux Etats-Unis pour réorganiser l’ensemble du système financier international, afin d’en finir avec la dictature de la finance folle, précisément celle de spéculateurs comme George Soros  ».

Qui vivra verra ...

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