Aujourd’hui, et on le constate tous les jours et partout, nous sommes dans la censure permanente, avec notamment des organisations juives et surtout sionistes qui font tout pour imposer leurs intérêts et leur point de vue.
Ils attaquent, accusent... Peu importe la justesse de leurs accusations, seul importe de faire taire toute voix, un tant soi peu critique.
Leurs intellectuels inondent et accaparent les médias, leurs ouvrages occupent une grande part de nos librairies et nous disent : « Voici ce que vous devez penser ».
Depuis la tragédie des années 40, ces organisations font tout ce qu’elles peuvent pour maintenir la culpabilité chez le reste du monde, y compris chez ceux qui n’étaient pas nés à cette époque. On peut dire qu’ils y parviennent bien.
L’accusation « qui tue », d’antisémitisme, vise tous ceux qui contestent les massacres de civils Palestiniens, la spoliation de leur biens, la négation de leurs droits, les assassinats ciblés et les multiples humiliations provoqués, par l’armée ou les colons Israeliens, et vécues par les populations voisines d’Israel. Or, si on conteste ces actes, on peut très bien reconnaître la religion juive et son droit être pratiquée librement. Amalgame.
Tout est fait pour qu’au nom de la Shoah, on puisse tout se permettre. Le monde ferme les yeux, laissant les enfants des martyrs devenir à leur tour des bourreaux.
Et c’est pour de nombreux hommes de bonne volonté, une immense tragédie de constater que les enfants des survivants se livrent à des actes qui ressemblent en de nombreux points de celles des boureaux de leurs pères.
On ne peut que constater que les dirigeants les plus « intransigeants », que l’on qualifierait partout ailleurs d’extrème droite, sont normalement élus par le peuple Israelien. Ce peuple est donc responsable de ce qui se passe.
Comment ce peuple, pourtant très éduqué, a t-il pu en arriver là ?
Pour ma part, je pense, que la large place fait aux religieux dans la société Israelienne, les fanatiques s’imposant rapidement, est responsable de cet état tragique.
Quel avenir ? Hélas, dans cette région du monde, les hommes de bonne volonté sont rejetés au second plan, et les fanatiques sont au pouvoir. Tous veulent la destruction de l’autre, celui qui est différent. J’ai peur qu’une nouvelle tragédie vienne endeuiller cette région, et le reste du monde suivra.