Les mutilations génitales existaient avant l’islam, ben oui et avant le judaisme aussi. Les musulmans croient avoir tout inventé, mal insouirés par la vanité de leurs sataniques propagandistes, ils n’ont rien inventé.
Ce qui est sûr, c’est que le fait qu’ils n’ont pas aboli ces crimes ignobles montrent que leur religion s’inscrit dans la continuité de la betialité humaine. La force de la bestialité sanguinaire change, mais elle demeure. La lettre change mais l’esprit demeure.
Ainsi le sacrifice humain continue de se pratiquer, pas sous force de décapitation comme chez les aztèques par exemple, mais sous forme de circoncision. Le principe même de la circoncision est de perpétuer l’esprit du sacrifice humain ; c’est particulièrement vrai chez le smonothéiste, chez qui cela représente le sacrifice avorté de son propre enfnat par égorgement.
Dit autrement, ceux qui sont assez crapuleux, cupide, soumis, pour mutiler par circoncision leur fil, sont ceux qui l’égorgerait, le décapiterait, lui ferait subir les pires tortures si on les persuadait qu’en échange ils accèderaient à leur soi disant paradis. Car en vérité, ces croyant qui se la jouent vertueux, ce sont les plus cupides, les plus intéressés. Ils feignent de se détourner de l’or terrestre parce qu’on leur fait miroiter un or plus précis encore, céleste. Plus cupide qu’eux y’a pas.
Cela étant, dans une émission ds années 90, sur France 3, consacrée aux mutilations génitales, deux théologiciens musulmans ont essayé d’expliquer que leur mahomet se serait, durant 10 ans, opposé à la circonciison masculine et féminine. Mais le présentateur, dont il est aisé de deviner l’origine etnique, s’est empressé de leur couper... la parole.