Le Liban de Nasrallah garant des libertés 3 sur 5
Laverbière se trouve pourtant au bon endroit pour pointer du doigt les privations de libertés tant d’expression que de la presse au Liban par le fait même du Hezbollah
M. Laverbière, merci de vous exprimer aussi sur ce qu’il en est des opposants, détracteurs, des libertés de la pratique des cultes, d’expression par Hanyieh ainsi que du Hamas à Gaza ?
Quel silence, M. Labrévière, sur tous ces sujets
Vous vous trouvez pourtant au bon endroit pour pointer du doigt les privations des libertés de tous ordres dont de la presse au Liban, à Gaza et partout dans tous ces merveilleux pays qui respectent l’Autre dans SA différence.
Cette vidéo est une honte et écoeurante de mauvaise foi
Qu’elle soit mise, en plus, bien avant par les gestionnaires de site en est une autre honte et révélateur de l’esprit de ceux qui gèrent ce site.
Laverbière s’accuse lui-même en choisissant de s’exprimer sur son licenciement et dans quels termes à partir du Liban : la patrie des journalistes assassinés, estropiés (suite aux attentats perpétrés contre eux) ou menacés. Ses propos et cette vidéo sont une insulte à tous les journalistes libanais, palestiniens, de tout le monde musulman (combien d’avoir subi le même sort en Algérie et ailleurs dans le monde musulman) assassinés et estropiés
M. Laverbière, après son retour en France, mérite que
toute personne qui le croise lui jette tout son mépris à la figure
RSF lui intente un procès au nom et à la mémoire de tous ses confrères victimes en terres d’Islam
un procès lui soit intenté pour s’être servi du Liban comme d’une plate forme pour clamer son antisémitisme sous couvert d’anti-sionisme. En quoi son procédé diffère-t-il d’un Faurisson ? A sa différence ce dernier s’est servi d’une conférence sur l’holocauste en Iran pour clamer haut et fort son droit et sa liberté d’expression à répandre ses théories sur le révisionnisme actif.
Cette intervention et la place donnée à ce Laverbière sont une honte et une insulte pour les victimes libanaises et musulmanes des privations sur la liberté d’expression et les libertés de la presse.