@Halman,
Il est vrai que certains peuvent s’en inspirer... Mais le problème est ailleurs !
Ce que l’on nomme le raisonnement cartésien ou le rationalisme nous a conduit vers les sommets de l’orgueil humain : En science, c’est le positivisme qui dénature la véritable quête de la compréhension du monde, en philosophie, c’est le nihilisme qui argumente tout et son contraire par un simple jeu d’analyses raisonnée, en économie, c’est le marxisme qui stimule le contrôle excessif sur la matière...
Le journalisme actuel est rénové par Internet et toute forme de communications planétaires délocalisée des circuits connectés avec le pouvoir en place. Il y a la politique, l’économie, la réalité des faits, et le peuple, la masse, le "monde d’en bas", qui montre une certaine réalité des faits. C’est une organisation socio-culturelle qui reflète une dichotomie évidente si l’on regarde la définition même de démocratie (le pouvoir reflète le peuple). Dans cette pyramide d’hommes et de femmes, il y a les journamistes, qui se situent (théoriquement), ni en dessus, ni en dessous, mais à côté du monde comme "observateurs objectifs" des faits. Cette idéologie journalistique est entachée par les "liens urbains" que tissent le pouvoir, la struture organique d’une société (lois, règles fiancières, droits de diffusion, circuits de l’AFP...), et les médias classiques eux-mêmes. Un "média citoyen" peut donc apporter des solutions à ce problème...