Commentaire de Canine
sur Interprétation libérale de la crise des subprimes
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"On peut reprocher beaucoup de choses aux banques, notamment leur crédulité et leur manque de prudence face à la mafia étatique de Washington mais aller reprocher aux banques d’avoir trop prêté aux pauvres, c’est vraiment refuser de voir la vérité en face."
Cette phrase là mériterait d’être encadrée au panthéon de la mauvaise foi. Sans même parler de l’aspect économique politique du problème, la dichotomie entre le méchant état politique, et les gentilles banques crédules, c’est digne des plus grandes heures de guignol et du gendarme.
Derniers commentaires
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22/12 17:08 - Padupe
"que le travail aille vers les zones qui en ont le plus besoin"... parce que (...)
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22/12 16:52 - Padupe
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06/10 21:43 - franc
je voie que une fois de plus est vérifié le dicton populaire:il n’y a que la vérité qui (...)
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06/10 21:41 - Canine
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06/10 20:17 - alcodu
J’adore quand les étatistes plaident pour la "fermeture et le contrôle des (...)
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06/10 18:48 - franc
la position ultralibérale de l’auteur contre les Etats-Nations est tout à fait logique (...)
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