par kingofshifumi (IP:xxx.x3.219.213) le 8 octobre 2008 à 17H20 							
							
															
							
								"L’imbécilité et l’ignorance, c’est de refuser le préservatif à l’époque du sida, c’est de refuser la pilule et l’avortement ;"
Cette phrase n’a aucun sens. Que signifie "refuser l’avortement" ? Ca veut dire qu’il faut l’accepter automatiquement ? Le pis-aller obligatoire ?
Il n’est pire sot que celui qui ne veut pas comprendre.
Une religion qui refuse et la pilule, et l’avortement, condamne des femmes à n’avoir que des rapports en vue de l’enfantement. Ce qui est totalement stupide et inadapté à l’époque et aux moeurs.
Quant au préservatif et au sida, je note que vous ne relevez pas ; ça n’a aucun sens, non plus ?
"Ce que vous dites est stupide. Le discours religieux s’adresse, évidemment à ceux qui y croient ; et les exemples, dans l’histoire, sont suffisamment nombreux, pour comprendre que la pression morale et les enseignements religieux sont à la base d’innombrables malheurs : personnels, sociaux, affectifs, psychologiques, médicaux. "
Discours inepte et intolérant. Pourquoi cela vous dérange-t-il que des gens croient ?
Où ai-je dit que ça me dérangeait que des gens croient ?
Ce qui me dérange, c’est que, pour ces gens, les dogmes et principes des religions les exposent à des malheurs.
Les témoins de Jéhovah refusent les transfusions sanguines, et alors ?
Et alors, des enfants, et des malades en meurent.
Les cathos (et pas seulement) refusent de recourir à l’avortement, et alors ?
Et alors, ça crée le malheur des "filles-mère" qu’on répudie, en général ; dans ces milieux ; vous n’êtes pas au courant ?
Et puis je vous ferai remarquer que ce qui est à "la base d’innombrables malheurs" aujourd’hui, c’est plutôt la pub pour l’amour passionnel, le mythe du coup de foudre éternel, l’aliénation aux plaisirs matériels vendue comme quintessence de la liberté, etc. A chaque époque, à chaque pays sa plaie.
Hors sujet.
Vous êtes à côté de la plaque, comme tous ceux qui défendent les dogmes religieux.