Commentaire de armand
sur Jean-Marie Gustave Le Clézio, prix Nobel de littérature 2008
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Au moins une joie fédératrice - que plusieurs d’entre nous, pas toujours d’accord sur d’autres sujets, se retrouvent à saluer ce Prix Nobel largement mérité. Joie de la découverte de l’ailleurs, richesse de la vie aux marches, en marge, empathie profonde pour les cultures en apparence étranges (enfant je me suis entiché des Mayas, jusqu’à en apprendre les hiéroglyphes, alors, pensez-vous, la découverte du Chilam Balam sous la plume de Le Clezio m’a ravi...) le tout assaisonné d’une mélancolie qui sourd inévitablement du temps, rendant tant de choses préceuses parce qu’éphémères...
A la liste établie par Sisyphe je voudrais ajouter le Chercheur d’Or...
Derniers commentaires
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13/10 01:46 - Baltar
Je remercie Le Clezio pour ses très beaux romans, poétiques et d’une très grande (...)
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12/10 22:36 - Tony Pirard
Par cela,nous pouvons dire que la littérature en France ce n’ est tant décadente comme (...)
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10/10 11:55 - sisyphe
D’accord pour Modiano, et la richesse de sa petite musique intérieure, qui reste dans (...)
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10/10 11:28 - armand
Notons qu’on peut apprécier un auteur et, surtout, reconnaître sa grande valeur, sans (...)
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10/10 01:02 - sisyphe
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09/10 21:51 - La Taverne des Poètes
Cet article est très décevant dans son contenu, qui ne parle ni du style littéraire, ni de (...)
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