L’immoralité grandissante de la puissance économique internationale et sa main-mise sur les médias lui permettant de conditionner les peuples pour leur faire accepter les niaiseries d’un libéralisme vicieux, inefficace, corrompu et déjà, à la base naif, dans ses fondements sont à mon sens parmi les causes importantes de notre crise actuelle, en sus du délitement de la résistance populaire.
La puissance économique est prise depuis quelques années de boulimie de gains faciles et est coupable de sa gestion à court-terme se moquant des dégats collatéraux actuels et futurs..
Il faut que la crise actuelle soit suffisamment profonde et marquante pour que les esprits sains de l’économie puissent par les dangers encourus arriver à déboulonner cet état d’esprit
Si les médias avaient été moins soumis à cette minorité malfaisante mise à la tête des états par des peuples souvent insconcients, et s’il y avait plus de restrictions à l’achat de médias par des grands groupes économiques, il y aurait peut-être eu possibilité de faire entendre beaucoup plus tôt et avec beaucoup plus de résultats les opposants à ce système débile libéral qui a même fini par son aspect de rouleau compresseur n’envisageant qu’une seule vérité - la sienne - à même faire basculer de nombreux socialistes vers l’esprit libéral... On peut saluer ceux qui ont résisté aux sirènes et qui à mon sens seront les plus sûrs pour le futur pour faire changer les choses
Une profonde remise en cause du fonctionnement et de la possession des medias est à mettre en chantier, indépendamment du secteur financier, notamment en France, en Italie, aux USA, etc..