Cet article a entièrement raison de pointer sur l’intolérable existence (et persistance !) des famines dans le Monde. Mais un fait important, générateur des famines actuelles, n’est pas évoqué dans cet article.
On voit dans la carte des famines dans le Monde, qui est insérée dans cet article, que l’Afrique est au centre du problème.
La carte des famines qui est insérée dans cet article trouve son explication si on la compare avec une autre carte, la carte suivante :
Taux de fécondité dans le Monde.
Depuis des décennies on finances les aides à l’Afrique pourtant la misère des Africains progresse. Quelles types d’aides faut-il alors continuer à envoyer en Afrique ? Car on devrait avant tout expliquer aux lecteurs que pour les Africains aussi, comme pour les reste de la population mondiale, il y a deux attitudes possibles :
- aide toi et Dieu t’aidera,
- mendie.
Quelle est la cause principale de la misère des Africains ? Les aides qu’on leur envoie n’ont-elle pas l’effet contraire à celui espéré ?
L’article parle du malheur mais est-ce que pour autant on n’a pas le droit de dire la vérité qui est que les Africains sont responsables de leurs malheurs ?
Les aides massives que les Européens fournissent à l’Afrique sont destinées à nourrir, abriter, instruire et donner des soins de santé aux Africains. Une partie de ces fonds d’aide finissent dans les coffres forts des dirigean,ts africains et une autre partie parvient sur le terrain mais avec quels résultat final ? Le résultat de toutes ces aides est que la population africaine se multiplie à une vitesse jamais et nulle part ailleurs constatée dans l’histoire de l’humanité. Le soutien financier massif destiné à l’Afrique inclut l’aide humanitaire et les prêts qu’obtiennent les États africains, mais que les gouvernements des États européens finissent par rembourser sur décisions de ceux qui sont au pouvoir en Europe (en vérité : les contribuables européens remboursent). Le fait que ce soutien financier massif, qui est en augmentation constante depuis des décennies, ne parvient pas à réduire la pauvreté sur le contiennent africain, permet de poser la question : les Africains sont-ils capables de se prendre en charge ? Le résultat factuel de ces aides est que la population africaine, parce que ça masse croit de façon incontrôlée, augmente sans cesse la pression des flux d’immigration depuis l’Afrique vers l’Europe.
Les études des ethnologues et des sociologues constatent que la mentalité des Africains - qui se concrétise par un ensemble de coutumes sociales - ne leur permet pas de créer des conditions favorables à l’amélioration de leur de vie. Quand un Africain reçoit un revenu il pense en priorité à assurer le « paraître » et à s’offrir les distractions, par exemple il préfère choisir d’acheter une télévision à la dernière technologie à la mode pour remplacer le vieux modèle plutôt que d’acheter une machine à laver etc. ou il financera par des dépenses déraisonnables les fêtes lors des évènements sociaux de la « grande » famille aux cousins innombrables, au lieu de chercher à améliorer son environnement de vie, par exemple en construisant un réservoir d’eau là où l’approvisionnement en eau est défaillant, par exemple en achetant un panneau solaire et un transformateur là où l’approvisionnement en électricité est défaillant etc. Un autre aspect des mentalités africaines est que le « système fiscal » est souvent remplacé par le « système de corruption » ce qui a pour conséquence de rendre difficile le financement des services qui sont sous la responsabilité de l’État.
Malgré la scolarisation généralisée et les études supérieurs qui pourraient les inciter à changer d’attitude, malgré le contact avec les Européens, malgré le constat que les Africains peuvent donc eux-mêmes faire que leur mentalité est la cause de leurs malheurs, la mentalité des Africains ne montre pas de réels signes de changement.
Ainsi, se croire obligé d’avoir le maximum d’enfants, même lorsqu’on n’a que très peu de revenus, est une caractéristique de la mentalité africaine.
Certaines études font penser que la fécondité d’une population baisse lorsque les conditions économiques s’améliorent. Cependant aucune croissance économique n’est capable de suivre la croissance explosive de la population en Afrique. L’écart entre l’augmentation de la population africaine et la croissance économique africaine, est la raison principale de l’augmentation permanente de la pauvreté des Africains. Désormais, la pauvreté des Africains a comme cause principale la fécondité non maîtrisée de la population. La fécondité très forte est elle-même un résultat de la mentalité africaine.
Autrement dit : les démographes constatent dans les faits que la notion de transition démographique n’est pas applicable en Afrique. C’est une question d’évolution ou plus exactement de la non évolution des mentalités en Afrique. Ainsi les démographes se basent sur les données économiques et sociologiques (donc sur le contexte de civilisation et le contexte culturel) pour estimer l’évolution des tendances démographiques. D’après ces études, les démographes prévoient généralement que l’évolution des mentalités en Afrique sera très lente et que le pic des populations en Afrique ne sera toujours pas atteint en 2100, date à laquelle les Africains seront selon les estimations moyennes entre 2,2 milliards et 3 milliards (ou entre 15 et 25 milliards dans les cas extrêmes, peu probables mais pas impossibles).
Voici une estimation moyenne de l’évolution démographique selon les experts de l’ONU, si l’Afrique voulait bien rapidement descendre au taux de fécondité de 2,1 enfants par femme :
« dans l’hypothèse du scénario moyen, la part de l’Afrique dans la population mondiale doublerait d’ici à 2300, passant de 13% actuellement à 24%. Celle de l’Europe tomberait de 12% à 7%, et l’Inde, la Chine et les États-Unis resteraient les États les plus peuplés. »
Le passage cité dans le paragraphe précédent est extrait du
Communiqué de presse de l’ONU, en langue française, qui explique que le scénario démographique « moyen » prévoit 9 milliards d’habitants sur la planète en 2100, mais comme le précise le sous-titre :
la population mondiale pourrait éventuellement « atteindre 44 milliards vers 2100 » car ce n’est pas exclu, notamment à cause de la fécondité des Africains qui en 2100 pourraient dans le cas extrême représenter plus de la moitié de la population mondiale (cette croissance extrême des populations Africaines ne sera possible que si les autres branches de l’humanité s’organisent pour fournir la nourriture nécessaire aux Africains).
En effet le scénario, que les démographes qualifient de « moyen », qui s’appuie sur l’hypothèse de 2,1 enfants par femme n’est que peu probable notamment parce que les mentalités africaines n’acceptent pas la baisse du nombre d’enfants.
La fécondité en Afrique ne pourra donc baisser de manière contrôlée que s’il y a intervention autoritaire des pouvoirs publics en suivant l’exemple de ce qui a été fait en Chine. Rien ne permet de présager en Afrique cette intervention autoritaire des pouvoirs publics.
Par conséquent le scénario suivant, qui n’est pas du tout certain, est cependant plausible : la population africaine continuera de croître à un rythme tel que les famines d’intermittentes deviendront endémiques et généralisées à l’ensemble du continent. Les famines créeront des conditions sociales insurrectionnelles. Des guerres deviendront endémiques en Afrique. Les famines et les guerres se chargeront de faire baisser le nombre d’Africains pour atteindre l’équilibre entre la capacité des Africains à se prendre en charge (notamment en ce qui concerne les besoins alimentaires) et leur capacité à se reproduire.
Certains diront que les Africains ont le droit, s’ils le souhaitent, de se multiplier autant qu’ils le veulent. Sur les territoires qui sont sous leur gestion ils ont le droit d’organiser leur société comme il leur plait. Les Africains ont le droit de se multiplier autant qu’ils le souhaitent. C’est certain. Mais alors ils doivent assumer les conséquences de leur choix, ils ne doivent pas demander aux autres branches de l’humanité de financer les moyens nécessaires à la survie de la masse croissante des Africains, ils ne doivent pas chercher à déverser leur trop plein de population sur l’Europe.
Il faut savoir que d’une population de 130 millions en 1900, la population de l’Afrique est montée à 780 millions en 2000, puis 950 millions en 2008 et devrait d’après les projections - qui tiennent compte des guerres sporadiques et des famines régionales ainsi que des épidémies telles que le SIDA - largement dépasser 2 milliards d’habitants en 2100. L’explication de cette pente montante si abrupte est dans le fait que
le taux de fécondité moyen en Afrique est actuellement proche de 5 enfants par femme. Par exemple, l
e Niger a très peu de surface cultivable et très peu d’eau disponible pour l’agriculture, pourtant le Niger est le pays avec le taux de natalité le plus élevé au monde : 7,9 enfants par femme. À ce taux-là la population double environ tous les 20 ou 25 ans. À l’évidence la priorité en Afrique est dans la baisse de la natalité.
Pour mieux éclairer le problème que se créent les Africains avec le taux de fécondité moyen d’environ 5 enfants par femme, il faut rappeler qu’en Europe le taux de fécondité moyen est actuellement de seulement environ 1,3 enfant par femme.
Le graphe suivant (déjà signalé en début du présent commentaire) centralise les données démographiques mondiales fournies par divers organismes officiels spécialisés dans les études démographiques, dont notamment la « Population Division » des Nations Unies et l’INED à Paris :
Taux de fécondité dans le Monde.
Ce graphe est extrait de l’article
« Démographie et immigration : suicide collectif des Européens » qui a été publié sur AgoraVox.
Et j’ajoute que concernant les crises alimentaires qui commencent à se propager dans certaines régions de la planète la solution écologique et de bon sens est la suivante :
le nombre d’habitants d’une région de notre planète ne devrait pas dépasser la capacité de ces habitants à se prendre en charge de façon autonome, y compris sur la question de la production de nourriture.
Il n’y a qu’une solution : la réduction des naissances dans les régions où les populations ne sont déjà pas capables d’assurer leur propres moyens de survie.
Concernant les aides à l’Afrique qui sont financées par les moyens financier prélevés de multiples façons dans la poche du contribuable européen, il convient d’observer que les politiques humanitaires et d’aide au développement sont un frein à l’évolution des pays car on leur apporte des solutions et on habitue les Africains à croire qu’ils seront toujours pris en charge par d’autres et que par conséquent les Africains peuvent garder leurs coutumes, ils peuvent continuer à vivre au jour le jour, ils peuvent continuer à se multiplier sans frein puisqu’il y aura toujours des Blancs européens pour fournir la nourriture et pour financer les besoins vitaux des Africains.
Les aides au développement devraient exclusivement viser cet objectif prioritaire de réduction des naissances ce qui d’ailleurs contribuerait rapidement à réduire la pauvreté endémique de ces régions.