Soyons un peu sérieux et disons la vérité telle qu’elle est.
L’Irak, les juifs, le conflit Israëlo-Palestinien, tous ces sujets n’intéressent pas beaucoup les Français.
La France n’est pas impliquée en Irak.
L’antisémitisme n’est pas très répandu en France, où il a disparu du paysage politique après la seconde guerre mondiale. Il ne subsiste guère que dans certains cercles d’extrème gauche où d’extrème droite, qui sont ultra-minoritaires dans la population Française.
Quant au conflit Israëlo-Palestininen qui en parle en France ? Certainement pas les juifs de France, qui auraient peur d’importuner leurs interlocuteurs avec une affaire qui ne passionne personne.
Alors ?
Qui vient nous emmerder CHEZ NOUS avec toutes ces histoires ?
Les juifs ne sont agressés que dans les quartiers où on trouve d’importantes communautés immigrés de confession musulmane. Si vous voulez vous en convaincre, allez vous promener avec une kippa sur la tête dans le centre de Paris, ou de n’importe quelle ville de France, puis renouvelez l’expérience à Bobigny ou à Venissieux, ou dans les quartiers Nord de Marseille.
Qui peut imaginer que la communauté juive de France va se laisser insulter, ou maltraiter, par des gens qui sortent d’on ne sait où, dont personne ne sait ce qu’ils font en France, ni qui les a invité à s’installer, et qui importent sans autorisation leurs haines ancestrales et des conflits qui ne nous regardent pas ?
Et qui a toléré cette intrusion dont tout pouvait laisser à penser qu’elle mettrait en danger, notre Démocratie, nos Institutions, notre République Laïque, la sécurité et la dignité des femmes et la sécurité d’une composante de la communauté nationale qui ne demandait qu’à vivre en paix et qui a participé depuis de nombreux siècles et de façon éminente, au bon renom de notre Nation dans tous les domaines des sciences, de la médecine, de la politique et de l’économie et des arts ?
Ceux qui l’ont toléré, et même encouragé parfois, pour des raisons qui mériteront d’être élucidées un jour, auront des comptes à rendre à notre Pays.
Tôt ou tard.