A brieli67
Ne vous emportez pas, Monsieur. Faites plutôt un effort de clarté pour qu’on puisse comprendre vos propos.
Quelques faits pour vous orienter un peu :
Je n’habite ni Paris, ni la France, et ne fais pas partie des cercles d’intellectuels parisiens. Je ne suis pas professeur ; j’ai été enseignant et j’ai quitté l’enseignement de mon propre chef, en toute lucidité et tranquillité. Je ne regrette aucunement d’avoir pris cette décision.
La phénoménologie française, qu’elle soit pratiquée à Paris ou à Brest, est un provincialisme intellectuel, et elle le reste même lorsqu’elle s’exporte vers d’autres pays. C’est une attitude philosophique qui refuse de prendre en compte les acquis des Lumières, comme certaines religions et églises.
Je n’ai pas soixante ans — ni plus de soixante ans, d’ailleurs.
Je n’ai accusé personne de quoi que ce soit, je me suis borné à décrire (polémiquement, s’entend) une situation possible de mésentente, qui a pu donner lieu à des vexations et des humiliations, et cela je l’ai fait sur la base d’expériences nombreuses et répétées au cours de mes années universitaires et des multiples contacts que j’ai entretenus durant ces années avec des personnalités du monde philosophique autant en Europe qu’aux Etats-Unis..
Un suicide, à mes yeux, reste toujours la responsabilité de celui ou de celle qui l’a commis, même les milliers de suicides de paysans indiens qui ont eu lieu ces dernières années en raison des politiques néolibérales appliquées en Inde. Cela ne veut cependant nullement dire que les abus d’autorité, les vexations, les humiliations (ou pire), le dogmatisme et le provincialisme intellectuels, les politiques économiques dictatoriales, et d’autres abus soient justifiés.